Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Bénéfices observés :
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- L’anorexie athlétique “fonctionnelle (recherche de légèreté)
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- L’anorexie athlétique “fonctionnelle (recherche de légèreté)
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- Prise express de poids imposée par le matériel
- Regard des réseaux sociaux qui jugent instantanément la silhouette
- et sentiment d’imposture malgré les titres mondiaux
- la restriction volontaire liée à la performance
- et la pathologie psychologique pure.
- L’anorexie athlétique “fonctionnelle (recherche de légèreté)
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- Prise express de poids imposée par le matériel
- Regard des réseaux sociaux qui jugent instantanément la silhouette
- et sentiment d’imposture malgré les titres mondiaux
- la restriction volontaire liée à la performance
- et la pathologie psychologique pure.
- L’anorexie athlétique “fonctionnelle (recherche de légèreté)
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
- Prise express de poids imposée par le matériel
- Regard des réseaux sociaux qui jugent instantanément la silhouette
- et sentiment d’imposture malgré les titres mondiaux
- la restriction volontaire liée à la performance
- et la pathologie psychologique pure.
- L’anorexie athlétique “fonctionnelle (recherche de légèreté)
- Réduction des blessures ligamentaires en phase
- Meilleure récupération
- Moins de surmenage chronique
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Une championne olympique de triathlon l’a avoué sans filtre : « J’ai toujours aimé manger. Je refuse de me priver. Mais les réseaux m’ont fait bloquer des comptes qui me comparaient à d’autres triathlètes plus “sèches”. C’était vital pour ma santé mentale ».
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Une championne olympique de triathlon l’a avoué sans filtre : « J’ai toujours aimé manger. Je refuse de me priver. Mais les réseaux m’ont fait bloquer des comptes qui me comparaient à d’autres triathlètes plus “sèches”. C’était vital pour ma santé mentale ».
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Cette anecdote, aussi absurde qu’elle paraisse, résume à elle seule un problème tenace dans le sport féminin de haut niveau : le corps des athlètes femmes est sans cesse scruté, jugé, commenté. Trop maigre, pas assez musclée, trop grosse après une prise de poids imposée par le matériel… Peu importe la médaille, le record ou la performance historique, on revient toujours à la silhouette.
Et puis il y a l’autre grand tabou, celui dont on chuchotait encore il y a dix ans dans les staffs : les règles. Comme si avoir ses cycles était une faiblesse à cacher plutôt qu’un paramètre physiologique comme un autre.
Le poids : cette obsession qui n’existe presque pas chez les hommes
Lorsqu’un coureur masculin arrive émacié sur les podiums du Tour, on parle de sacrifice, de régime “grimpeur”, d’adaptation parfaite à l’effort. Quand c’est une femme, on s’inquiète publiquement pour sa santé, on titre sur l’anorexplose “trop maigre” et on sous-entend des dérives. Cherchez l’erreur.
Un manager d’équipe professionnelle féminine de premier plan l’a résumé récemment avec une formule cash : « Pose-t-on la même question à Vingegaard ou Pogacar quand ils pèsent 58 kg pour 1m86 sur le podium ? Non. Alors pourquoi on l’impose à nos athlètes ? » Touché.
« Le corps des femmes est tout le temps sous le regard public. On la trouve trop maigre, puis trop ronde, jamais pile au “bon” poids selon les critères esthétiques du moment. C’est épuisant mentalement. »Une responsable de sponsoring haut niveau qui a organisé un grand débat sur le sujet
Quand prendre du poids devient obligatoire… et devient un drame personnel
À l’opposé, certaines disciplines imposent une prise de kilos pour performer. En kitefoil, par exemple, la nouvelle planche olympique exige plus de puissance. Résultat : certaines championnes ont dû prendre rapidement de la masse grasse parce qu’il n’y avait pas le temps de la masse musculaire. Une athlète médaillée d’argent à Paris 2024 raconte avoir vécu cette phase comme une souffrance psychologique énorme. Elle n’osait plus se regarder dans le miroir d’entraînement.
Son entraîneur national a fini par dire stop à cette “course au poids” infinie et a course au kilo en↓
Des planches nouvelles technologies avec capteurs sont en cours de développement pour adapter le matériel plutôt que le corps. Une révolution en marche.
Parce que oui, l’équipement peut évoluer plus vite que la biologie, et c’est tant mieux.
La frontière ténue entre optimisation et trouble du comportement alimentaire
Dans l’athlétisme ou le triathlon, la recherche de légèreté reste forte. Les diététiciens parlent de “athlètes cibles” à risque.
Ils forment désormais les coachs à détecter la différence entre :
Une championne olympique de triathlon l’a avoué sans filtre : « J’ai toujours aimé manger. Je refuse de me priver. Mais les réseaux m’ont fait bloquer des comptes qui me comparaient à d’autres triathlètes plus “sèches”. C’était vital pour ma santé mentale ».
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Cette anecdote, aussi absurde qu’elle paraisse, résume à elle seule un problème tenace dans le sport féminin de haut niveau : le corps des athlètes femmes est sans cesse scruté, jugé, commenté. Trop maigre, pas assez musclée, trop grosse après une prise de poids imposée par le matériel… Peu importe la médaille, le record ou la performance historique, on revient toujours à la silhouette.
Et puis il y a l’autre grand tabou, celui dont on chuchotait encore il y a dix ans dans les staffs : les règles. Comme si avoir ses cycles était une faiblesse à cacher plutôt qu’un paramètre physiologique comme un autre.
Le poids : cette obsession qui n’existe presque pas chez les hommes
Lorsqu’un coureur masculin arrive émacié sur les podiums du Tour, on parle de sacrifice, de régime “grimpeur”, d’adaptation parfaite à l’effort. Quand c’est une femme, on s’inquiète publiquement pour sa santé, on titre sur l’anorexplose “trop maigre” et on sous-entend des dérives. Cherchez l’erreur.
Un manager d’équipe professionnelle féminine de premier plan l’a résumé récemment avec une formule cash : « Pose-t-on la même question à Vingegaard ou Pogacar quand ils pèsent 58 kg pour 1m86 sur le podium ? Non. Alors pourquoi on l’impose à nos athlètes ? » Touché.
« Le corps des femmes est tout le temps sous le regard public. On la trouve trop maigre, puis trop ronde, jamais pile au “bon” poids selon les critères esthétiques du moment. C’est épuisant mentalement. »Une responsable de sponsoring haut niveau qui a organisé un grand débat sur le sujet
Quand prendre du poids devient obligatoire… et devient un drame personnel
À l’opposé, certaines disciplines imposent une prise de kilos pour performer. En kitefoil, par exemple, la nouvelle planche olympique exige plus de puissance. Résultat : certaines championnes ont dû prendre rapidement de la masse grasse parce qu’il n’y avait pas le temps de la masse musculaire. Une athlète médaillée d’argent à Paris 2024 raconte avoir vécu cette phase comme une souffrance psychologique énorme. Elle n’osait plus se regarder dans le miroir d’entraînement.
Son entraîneur national a fini par dire stop à cette “course au poids” infinie et a course au kilo en↓
Des planches nouvelles technologies avec capteurs sont en cours de développement pour adapter le matériel plutôt que le corps. Une révolution en marche.
Parce que oui, l’équipement peut évoluer plus vite que la biologie, et c’est tant mieux.
La frontière ténue entre optimisation et trouble du comportement alimentaire
Dans l’athlétisme ou le triathlon, la recherche de légèreté reste forte. Les diététiciens parlent de “athlètes cibles” à risque.
Ils forment désormais les coachs à détecter la différence entre :
Une championne olympique de triathlon l’a avoué sans filtre : « J’ai toujours aimé manger. Je refuse de me priver. Mais les réseaux m’ont fait bloquer des comptes qui me comparaient à d’autres triathlètes plus “sèches”. C’était vital pour ma santé mentale ».
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
Imaginez : vous venez de remporter le Tour de France femmes, vous êtes au sommet de votre sport, et la une des journaux titre sur votre maigreur plutôt que sur votre exploit. C’est exactement ce qu’a vécu une immense championne l’été dernier. Frustrant, non ?
Cette anecdote, aussi absurde qu’elle paraisse, résume à elle seule un problème tenace dans le sport féminin de haut niveau : le corps des athlètes femmes est sans cesse scruté, jugé, commenté. Trop maigre, pas assez musclée, trop grosse après une prise de poids imposée par le matériel… Peu importe la médaille, le record ou la performance historique, on revient toujours à la silhouette.
Et puis il y a l’autre grand tabou, celui dont on chuchotait encore il y a dix ans dans les staffs : les règles. Comme si avoir ses cycles était une faiblesse à cacher plutôt qu’un paramètre physiologique comme un autre.
Le poids : cette obsession qui n’existe presque pas chez les hommes
Lorsqu’un coureur masculin arrive émacié sur les podiums du Tour, on parle de sacrifice, de régime “grimpeur”, d’adaptation parfaite à l’effort. Quand c’est une femme, on s’inquiète publiquement pour sa santé, on titre sur l’anorexplose “trop maigre” et on sous-entend des dérives. Cherchez l’erreur.
Un manager d’équipe professionnelle féminine de premier plan l’a résumé récemment avec une formule cash : « Pose-t-on la même question à Vingegaard ou Pogacar quand ils pèsent 58 kg pour 1m86 sur le podium ? Non. Alors pourquoi on l’impose à nos athlètes ? » Touché.
« Le corps des femmes est tout le temps sous le regard public. On la trouve trop maigre, puis trop ronde, jamais pile au “bon” poids selon les critères esthétiques du moment. C’est épuisant mentalement. »Une responsable de sponsoring haut niveau qui a organisé un grand débat sur le sujet
Quand prendre du poids devient obligatoire… et devient un drame personnel
À l’opposé, certaines disciplines imposent une prise de kilos pour performer. En kitefoil, par exemple, la nouvelle planche olympique exige plus de puissance. Résultat : certaines championnes ont dû prendre rapidement de la masse grasse parce qu’il n’y avait pas le temps de la masse musculaire. Une athlète médaillée d’argent à Paris 2024 raconte avoir vécu cette phase comme une souffrance psychologique énorme. Elle n’osait plus se regarder dans le miroir d’entraînement.
Son entraîneur national a fini par dire stop à cette “course au poids” infinie et a course au kilo en↓
Des planches nouvelles technologies avec capteurs sont en cours de développement pour adapter le matériel plutôt que le corps. Une révolution en marche.
Parce que oui, l’équipement peut évoluer plus vite que la biologie, et c’est tant mieux.
La frontière ténue entre optimisation et trouble du comportement alimentaire
Dans l’athlétisme ou le triathlon, la recherche de légèreté reste forte. Les diététiciens parlent de “athlètes cibles” à risque.
Ils forment désormais les coachs à détecter la différence entre :
Une championne olympique de triathlon l’a avoué sans filtre : « J’ai toujours aimé manger. Je refuse de me priver. Mais les réseaux m’ont fait bloquer des comptes qui me comparaient à d’autres triathlètes plus “sèches”. C’était vital pour ma santé mentale ».
Preuve que la pression esthétique est devenue plus forte que celle de la compétition elle-même.
p>Les cycles menstruels : enfin on en parle à voix haute !
L’autre grand tabou historique. Longtemps, on a considéré les règles comme un “problème à gérer en cachette”. La pilule était déconseillée parce que “ça fait grossir” (mythe tenace), ou au contraire imposée pour supprimer les règles pendant les compétitions.
Aujourd’hui, la science rattrape son retard.
« Parler des règles avec un coach homme, c’était impensable il y a encore dix ans. Aujourd’hui, c’est une donnée d’entraînement comme la VO2max ou le sommeil. »
Une chercheuse qui suit onze fédérations explique : on peut maintenant utiliser les phases du cycle pour optimiser la prise de muscle (phase lutéale) ou la perte de gras (folliculaire), ajuster les charges, le pic de forme pour les JO. L’aviron a ouvert la voie avec un programme de suivi par application pendant six mois.
Résultat ? Des athlètes qui p> mieux se connaissent et des performances plus régulières.
Bénéfices observés :
+ 10-15% de gains musculaires possibles en phase haute hormonale
Et tout le monde y gagne : les entraîneurs, même masculins, sont formés massivement depuis Paris 2024.
Un référent scientifique d’une fédération de triathlon le martèle : « Parler des règles, c’est déjà une plus-value énorme. La science a 20 ans de retard sur le sport masculin, mais on a comble le gap à vitesse grand V.
Et les sportives en formation des coaches sur le sujet dans les séminaires de l’Agence nationale du sport. Parce que la performance féminine, c’est aussi une question d’équité.
Comme le résume un entraîneur de voile : « Si on met les moyens sur le sport féminin, on va ramasser plus de médailles. C’est mathématique. Et on rattrape le sport masculin, c’est maintenant. »
Et si on arrêtait de juger le corps des athlètes et qu’on commençait à le comprendre ?
Le vent tourne. Lentement, mais il tourne.
Les tabous d’hier deviennent les atouts de demain. Et ça, c’est la plus belle des victoires.
