Imaginez-vous au volant d’une voiture où le rugissement légendaire d’un moteur V12 laisse place à un silence vibrant, ponctué par une accélération fulgurante. Ou picturez un voilier géant, fendant l’océan à des vitesses défiant l’imagination, porté par des technologies dignes de la Formule 1. C’est exactement ce que promet une marque italienne emblématique, mondialement connue pour son cheval cabré, en se lançant dans deux univers inattendus : l’électrique et la voile. Ce n’est pas juste une transition, c’est une révolution. Dans cet article, je vous emmène dans les coulisses de ces projets audacieux qui redéfinissent ce que signifie innover en 2025.
Une Nouvelle Ère pour l’Innovation Automobile et Maritime
Quand on pense à cette marque italienne, on imagine des bolides rouges rugissants, des courbes sensuelles et des performances qui font battre le cœur. Mais aujourd’hui, l’entreprise pousse ses limites bien au-delà des routes asphaltées. Avec une voiture 100 % électrique, baptisée pour l’instant Elettrica, et un voilier révolutionnaire nommé Hypersail, elle s’attaque à des défis technologiques qui pourraient redessiner son avenir. Pourquoi ce virage ? Parce que l’innovation, c’est dans son ADN, et que le monde change à une vitesse folle.
J’ai toujours trouvé fascinant comment certaines marques arrivent à se réinventer sans perdre leur âme. Ici, on ne parle pas d’un simple gadget marketing, mais d’un engagement profond pour répondre aux attentes d’un monde en quête de solutions durables tout en préservant l’émotion brute qui fait la réputation de cette icône. Alors, quels sont les secrets de ces deux projets ? Allons-y, étape par étape.
L’Elettrica : Une Ferrari Électrique Qui Repousse les Limites
La première voiture entièrement électrique de cette marque légendaire, prévue pour un lancement au printemps 2026, n’est pas une simple réponse aux tendances écologiques. C’est une déclaration d’intention. Lors d’une récente présentation, les ingénieurs ont dévoilé un châssis futuriste intégrant une batterie sous le plancher, une architecture qui promet une répartition optimale du poids et une silhouette inédite. Avec un empattement d’environ trois mètres, on devine une voiture spacieuse, avec des portes arrière et une position de conduite avancée. Mais ne vous y trompez pas : ce n’est pas une berline familiale lambda.
« Ce n’est pas une supercar au sens classique, mais une voiture qui incarne l’essence de notre marque : émotion, performance et innovation. »
– Un dirigeant de l’entreprise
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une puissance dépassant les 1000 chevaux, un 0 à 100 km/h en 2,5 secondes, une vitesse de pointe de 310 km/h, et une autonomie de 530 km grâce à une batterie de 122 kWh. Impressionnant, non ? Pourtant, ce qui m’a le plus marqué, c’est l’approche de l’équipe : plutôt que de courir après des performances exagérées, ils ont voulu créer une voiture qui ressemble à une vraie Ferrari. Pas un monstre de puissance sans âme, mais un bolide capable de transmettre des émotions.
- Puissance maîtrisée : 1000+ chevaux pour une accélération fulgurante.
- Autonomie optimisée : 530 km pour des trajets longue distance.
- Recharge rapide : 350 kW pour minimiser les temps d’arrêt.
Ce qui distingue ce projet, c’est l’attention portée aux détails. Les ingénieurs ont conçu une batterie en interne, utilisant des cellules coréennes, et un système de refroidissement innovant. Chaque essieu est équipé de deux moteurs électriques indépendants, offrant une répartition précise du couple. Les suspensions actives et les roues directrices indépendantes promettent une tenue de route exceptionnelle. Mais le clou du spectacle ? Le son. Oui, une voiture électrique qui chante.
Un Son Électrique Qui Fait Vibrer
Si vous pensez qu’une voiture électrique est condamnée au silence, détrompez-vous. Les équipes ont travaillé pour que les vibrations mécaniques des quatre moteurs électriques créent une signature sonore unique, amplifiée dans l’habitacle comme une guitare électrique branchée sur un ampli. C’est une idée brillante, et je dois dire que j’ai hâte d’entendre le résultat. Imaginez : pas un grondement artificiel, mais une mélodie mécanique qui rappelle l’héritage de la marque.
Et ce n’est pas tout. Le volant intègre des palettes pour moduler le couple, offrant une sensation de conduite progressive. Vous voulez freiner comme sur une thermique ? C’est possible. Accélérer avec précision ? Idem. Cette approche, qui mêle technologie et émotion, montre à quel point l’équipe a compris ce qui fait vibrer ses fans.
Hypersail : Ferrari Prend la Mer
Si l’Elettrica fait tourner les têtes sur la terre ferme, l’Hypersail promet de faire des vagues sur l’océan. Ce voilier de 30 mètres, conçu par l’architecte français Guillaume Verdier et supervisé par le skipper Giovanni Soldini, est un monstre de technologie. L’objectif ? Battre des records maritimes, comme le Trophée Jules Verne, le tour du monde en équipage. Mais comment une marque de voitures s’est-elle retrouvée à construire un bateau ?
La réponse réside dans le transfert de compétences. Les innovations développées pour l’Elettrica, comme la gestion énergétique et les matériaux avancés, sont directement appliquées à ce voilier. Les foils révolutionnaires permettent au bateau de « voler » au-dessus de l’eau, réduisant la traînée et augmentant la vitesse. L’énergie à bord est produite uniquement à partir de sources renouvelables : éolien, solaire et hydrogénérateur. C’est un projet qui allie performance et durabilité, et franchement, ça donne envie de prendre le large.
« Avec Hypersail, nous repoussons les limites de ce que la technologie peut accomplir sur l’eau. »
– Un expert maritime impliqué dans le projet
La conception de l’Hypersail devrait être finalisée en 2026, et je ne serais pas surpris si ce voilier devenait une référence dans le monde de la voile. Les modules dérivés de la F80, une autre création de la marque, optimisent la distribution d’énergie à bord, même dans des conditions extrêmes. C’est le genre de projet qui me fait dire : « Wow, ils ne plaisantent pas. »
Pourquoi Ce Virage Électrique et Maritime ?
Certains puristes pourraient froncer les sourcils. Une voiture électrique ? Un bateau ? Où est passé le V12 légendaire ? Mais à mon avis, ce virage est une nécessité. Le monde automobile évolue, et les réglementations environnementales poussent les constructeurs à innover. D’ici 2030, l’entreprise vise 20 % de sa gamme électrifiée, un objectif prudent mais stratégique. En parallèle, l’Hypersail montre que la marque ne se contente pas de suivre les tendances : elle veut les définir.
| Projet | Innovations clés | Objectif |
| Elettrica | Batterie interne, moteurs indépendants, son unique | Voiture électrique émotionnelle |
| Hypersail | Foils, énergie renouvelable, gestion énergétique | Records maritimes |
Ce qui me frappe, c’est l’équilibre entre tradition et modernité. L’entreprise ne renie pas son passé, mais elle regarde vers l’avenir avec audace. Les critiques diront que c’est un pari risqué, mais je pense qu’ils sous-estiment la capacité de cette marque à surprendre.
Quelles Attentes pour 2026 ?
L’Elettrica et l’Hypersail ne sont pas de simples projets technologiques. Ils incarnent une vision : celle d’une marque qui refuse de se reposer sur ses lauriers. En 2026, lorsque la voiture électrique arrivera sur le marché, elle devra séduire une clientèle exigeante, notamment en Chine, où la demande pour les véhicules électriques est en plein essor. Quant au voilier, il pourrait redéfinir les standards de la voile de compétition.
Mais il reste des questions. À quoi ressemblera le design final de l’Elettrica ? Quel sera son prix ? Et l’Hypersail tiendra-t-il ses promesses face aux géants de la voile ? Une chose est sûre : ces projets vont faire parler. Et si vous me demandez, je parie qu’ils vont surprendre plus d’un sceptique.
En conclusion, ces deux projets montrent qu’innover, ce n’est pas seulement suivre les tendances, mais les anticiper. Que ce soit sur la route ou sur l’eau, cette marque italienne prouve qu’elle sait se réinventer tout en restant fidèle à son héritage. Alors, prêt à découvrir ce que 2026 nous réserve ? Moi, je trépigne d’impatience.
