Imaginez-vous pédaler à flanc de montagne, le vent qui fouette le visage, et cette sensation grisante de dominer la pente. C’est exactement ce que vit Jonas Vingegaard, ce grimpeur danois qui fait vibrer le peloton mondial. À 28 ans, il boucle une saison 2025 qui n’a pas tout gagné, mais qui laisse une empreinte indélébile. Deuxième au Tour de France, vainqueur de la Vuelta… et des idées plein la tête pour 2026. J’ai toujours admiré ces coureurs qui osent regarder au-delà de la Grande Boucle. Et lui, il le fait avec une humilité qui force le respect.
Une Saison 2025 Chargée d’Émotions et de Triomphes
Retour sur une année pas comme les autres. Vingegaard n’a pas décroché le Maillot Jaune tant convoité, mais franchement, qui pourrait lui en vouloir face à un rival comme Tadej Pogačar ? Pourtant, le Danois note sa saison à 7 ou 8 sur 10. C’est pas mal, hein ? Surtout quand on sait d’où il repart.
Le Retour en Force Après la Chute
Parlons-en, de cette chute qui a tout chamboulé en 2024. Au Tour du Pays basque, boom, tout s’écroule. Commotion, arrêt forcé, et un an et demi à ramer pour retrouver le fil. Mais regardez-le maintenant : données à l’appui, il produit la même puissance qu’avant. Impressionnant, non ? Moi, je me dis que c’est le genre de come-back qui forge les légendes.
Personnellement, c’était important de gagner à nouveau un Grand Tour. Revenir au niveau d’avant, ça a pris du temps.
– Jonas Vingegaard
Et hop, la Vuelta en septembre. Une victoire qui fait du bien au moral. Pas juste un podium, non, le maillot rouge en poche. Deux ans sans Grand Tour majeur, et là, il recolle les morceaux. J’ai l’impression que ce triomphe, c’est plus qu’une course : c’est une renaissance.
- Victoire au Tour d’Algarve en février : un sans-faute sur les routes portugaises.
- Deuxième au Critérium du Dauphiné : préparation idéale pour le Tour.
- Chute à Paris-Nice en mars : un coup dur, mais vite surmonté.
- Deuxième au Tour de France : dauphin de Pogačar, encore et toujours.
- Vainqueur de la Vuelta : le clou du spectacle.
Ces résultats, ils parlent d’eux-mêmes. Mais Vingegaard insiste : une saison réussie, ça va au-delà d’une seule course. Et il a raison. Le cyclisme, c’est un marathon, pas un sprint.
La Vuelta : Entre Concentration et Turbulences
Ah, la Vuelta 2025… Pas de quoi rigoler. Manifestations, étapes perturbées, et un coureur qui tousse et renifle au milieu de tout ça. Pourtant, il tient. Il attaque sur la 9e étape à Valdezcaray, prend 24 secondes d’avance. Malin, le gars. Il sait profiter des bonnes journées.
| Étape Clé | Lieu | Avantage Gagné |
| 9e étape | Valdezcaray | 24 » sur Almeida et Pidcock |
| Autres journées | Divers | Défense du maillot rouge |
Ensuite, un petit virus le freine, mais il gère. Suivre, ne pas craquer. C’est ça, la résilience d’un champion. Personnellement, je trouve que cette Vuelta-là vaut bien un Tour. Plus dure, plus imprévisible. Et lui, il sort grandi.
Deux Grands Tours de Suite : Un Défi à Réitérer ?
Comme en 2023, où il gagne le Tour et finit deuxième de la Vuelta (remportée par son coéquipier Sepp Kuss), Vingegaard enchaîne les efforts surhumains. Question : et si 2026 voyait un doublé Giro-Tour ? Il y pense, c’est sûr. Le Giro, c’est le seul qui manque à son palmarès. Huitième coureur à remporter les trois Grands Tours ? Un rêve à portée de pédales.
Ça serait beau évidemment, c’est un rêve de gagner les trois Grands Tours.
– Jonas Vingegaard
Mais attention, rien n’est décidé. Discussions avec l’équipe Visma-Lease a Bike en novembre. Le Tour reste incontournable, passage obligé pour tout grimpeur qui se respecte. Et le Giro ? Pourquoi pas. Imaginez : maillot rose, puis jaune. Wow.
Pourtant, zapper le Tour un jour ? Seulement si la victoire devient impossible. Pour l’instant, c’est non. Et franchement, tant mieux. Le Tour, c’est son ADN.
Le Tour de France : Amour-Haine avec la Pression Médiatique
Le Tour, c’est énorme. Podium bondé de journalistes, protocoles interminables. À la Vuelta, deux gus pour une interview. À Paris, trente. Fatigant ? Oui. Spécial ? Absolument. Vingegaard adore cette folie. Les spectateurs, l’attention… Ça le porte.
- Arrivée sur le podium : signature sous les flashs.
- Interviews interminables : fatigue mentale max.
- Spectateurs en masse : boost d’adrénaline.
- Protocoles stricts : partie du jeu.
Pour moi, c’est ce qui rend le Tour unique. Pas juste des bornes, mais un cirque géant. Et Vingegaard, il danse au milieu.
Au-Delà des Grands Tours : L’Appel des Classiques
Et si on sortait des étapes longues ? Vingegaard en a marre d’être enfermé dans les GC. Il veut des classiques ! Liège-Bastogne-Liège, Tour de Lombardie, Mondiaux à Montréal en 2026. Pour un grimpeur, c’est le pied.
Le cyclisme ne se limite pas aux courses par étapes. Il y a aussi de grandes courses d’un jour.
– Jonas Vingegaard
Pourquoi maintenant ? Parce que le Tour, c’est top, mais le cyclisme existe ailleurs. Il l’a toujours su, mais les agendas bloquent. Liège avant le Tour ? Compliqué. Mondiaux après Vuelta ? Même topo. Compromis en vue.
Entraînement adapté ? Pas tout de suite. D’abord, le Tour comme d’hab. Après, on tweak. Et pour les Mondiaux, GP de Québec et Montréal comme warm-up. Parfait.
| Classique | Date Approx. | Intérêt pour Vingegaard |
| Liège-Bastogne-Liège | Avril | Élevé – Ardennaises |
| Tour de Lombardie | Octobre | Élevé – Finale de saison |
| Mondiaux Montréal | Septembre 2026 | Très élevé – Arc-en-ciel |
Ces courses, elles pourraient changer sa carrière. Moins de bornes, plus d’explosivité. J’adore l’idée : un Vingegaard polyvalent, ça secoue le peloton !
Championnats d’Europe : Un Essai Non Concluant
Début octobre, avec le Danemark. Abandon. Pas dramatique, juste un test. Il voulait sentir l’ambiance one-day. Prochain arrêt : Critérium de Saitama au Japon en novembre. Pour clore 2025 en beauté.
Et l’Andorra Cycling Masters ? Quatrième place. Pas mal pour un gars encore en prépa vacances. Roglic bat Pogačar, lui suit. De bon augure.
Perspectives 2026 : Le Calendrier en Ébullition
Plan à fixer mi-décembre. Mais on sent l’excitation. Doublé Giro-Tour ? Mondiaux ? Classiques ? Tout est possible. Vingegaard sur une courbe ascendante, il veut progresser. Perdu un an et demi ? Il rattrape.
- Giro : Rêve du triple couronné.
- Tour : Obligatoire pour la gagne.
- Mondiaux : Arc-en-ciel en vue.
- Classiques : Diversifier le palmarès.
- Vuelta ? : Peut-être, si pas Giro.
Question rhétorique : et si 2026 était son année ? Pogačar invincible ? Pas sûr. Vingegaard a faim.
L’Impact sur l’Équipe et les Rivaux
Visma-Lease a Bike jubile. Avec Kuss, Roglic avant, maintenant lui. Une machine. Pogačar ? Respect mutuel. Deux géants qui se tirent la bourre.
Le Tour est si grand que même si on ne voulait pas, on y va.
– Jonas Vingegaard
Pour les jeunes, comme Seixas, il conseille la patience. Attendre son heure. Sage conseil d’un veteraan à 28 ans.
Analyse Personnelle : Pourquoi Vingegaard Fascine
Franchement, ce qui me plaît chez lui, c’est l’équilibre. Humble, mais ambitieux. Blessé, mais résilient. Focalisé sur le Tour, mais ouvert aux classiques. Dans un sport où tout est calculé, il apporte une fraîcheur danoise. Et ses données ? Précises comme un suisse. Il optimise tout.
Courbe de progression Vingegaard : - 2023 : Pic absolu - 2024 : Chute et reconstruction - 2025 : Retour au top - 2026 : Nouveaux sommets ?
Statistiques à l’appui : puissance identique à pré-chute. Le retard ? Rattrapé. Espoir : courbe ascendante reprend.
Les Défis à Venir : Blessures, Concurrence, Équilibre
Blessures : Priorité numéro un. Il s’entraîne encore en octobre ! Concurrence : Pogačar, Evenepoel, tous les jeunes loups. Équilibre : Courses one-day vs GC. Faut choisir.
| Défis | Solutions Vingegaard |
| Blessures récurrentes | Entraînement progressif |
| Concurrence féroce | Données et tactique |
| Calendrier chargé | Compromis intelligents |
Il gère. Comme un pro.
Témoignages et Réactions du Peloton
Dans les couloirs, on murmure : « Vingegaard est de retour, et plus fort. » Sepp Kuss, son pote, sourit. Pogačar respecte. Même les commentateurs : « Un dauphin qui mord. »
Finir 2e du Tour et gagner la Vuelta, ce n’est pas une mauvaise saison.
– Jonas Vingegaard
Les fans ? En transe. Forums bouillonnent : « Allez pour le triple en 2026 ! »
Conseils pour les Aspirants Grimpeurs
Si vous pédalez, prenez exemple. Données power meter : oui. Résilience : check. Diversifiez : pourquoi pas une classique locale ? Vingegaard montre la voie.
- Analysez vos sorties.
- Relevez-vous après chute.
- Viser haut, mais varier.
Simple, efficace.
Conclusion : Vers un 2026 Historique ?
2025 : Solide. 2026 : Explosif ? Vingegaard, attaché au Jaune, mais curieux. Le cyclisme existe loin du Tour, dit-il. Et on le suit. Restez branchés, ça va pédaler dur.
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