Imaginez un stade qui vibre déjà des heures avant le coup d’envoi, des milliers de voix qui chantent à l’unisson, des drapeaux qui flottent sous un ciel étoilé. Ce soir, le 21 décembre 2025, le Maroc donne le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations, et franchement, on sent que ça va être quelque chose d’exceptionnel. Le pays hôte affronte les Comores pour ouvrir le bal, et personnellement, j’ai l’impression que cette édition pourrait bien marquer les esprits pour longtemps.
Depuis des mois, on en parle partout : le Maroc a mis les moyens pour organiser une compétition qui sorte du lot. Des stades rénovés, une ambiance promise comme jamais, et un engouement populaire qui dépasse les frontières. Mais avant de plonger dans le match lui-même, revenons un peu sur ce qui nous attend dès 18h30.
Une Cérémonie d’Ouverture qui Promet du Spectacle
La fête commence bien avant le premier coup de sifflet. À partir de 18h30 au stade Prince Moulay Abdellah à Rabat, la cérémonie d’ouverture va donner le ton. On s’attend à un show mêlant traditions marocaines, musique entraînante et effets visuels impressionnants. Vous savez, ces moments où un pays entier se met en scène pour le monde entier.
Ce qui rend ça particulier, c’est que le Maroc n’a pas lésiné sur les moyens. Après avoir raté l’organisation il y a quelques années, le royaume a tout fait pour que cette 35e édition soit mémorable. Des chorégraphies géantes, des invités surprise peut-être, et surtout cette communion entre le public et les artistes. J’ai vu des images des répétitions, et croyez-moi, ça s’annonce grandiose.
Et puis, il y a ce symbole fort : le pays hôte qui lance la compétition devant son public. Une pression énorme, mais aussi une énergie folle qui peut porter l’équipe très loin. Souvenez-vous de certaines éditions passées où l’hôte a surfé sur cette vague jusqu’au titre.
Le Match d’Ouverture : Maroc contre Comores, Plus qu’un Simple Début
À 20 heures précises, le vrai football commence. Les Lions de l’Atlas face aux Cœlacanthes des Comores. Sur le papier, le Maroc part largement favori. Mais dans une Coupe d’Afrique, on sait que rien n’est jamais acquis d’avance.
Le Maroc arrive avec une génération dorée, celle qui a brillé lors de la dernière Coupe du Monde. Une défense solide, un milieu créatif et des attaquants qui peuvent faire la différence à tout moment. Et surtout, cette envie de enfin décrocher un deuxième titre continental, près de cinquante ans après le premier en 1976.
En face, les Comores représentent parfaitement l’esprit de cette compétition. Une petite nation qui a surpris tout le monde ces dernières années en se qualifiant régulièrement. Ils jouent sans complexe, avec une organisation défensive rigoureuse et des contres rapides. Ça pourrait bien poser des problèmes si les Marocains se montrent trop confiants.
Le Maroc a toutes les armes pour aller loin, mais la pression du public et le statut de favori peuvent parfois jouer des tours.
– Un observateur averti du football africain
Cette citation résume bien l’enjeu. Walid Regragui, le sélectionneur, l’a répété : cette CAN à domicile est la compétition d’une vie. Il faut gérer l’émotion tout en restant concentré.
Achraf Hakimi : Le Retour Attendu d’une Star
Parmi les histoires qui font vibrer avant ce match, il y a bien sûr celle d’Achraf Hakimi. Le latéral droit, véritable leader des Lions, revient d’une blessure sérieuse à la cheville. Absent plus d’un mois et demi, il pourrait fouler la pelouse dès ce soir.
Vous imaginez l’impact ? Voir ce joueur explosif, capable de déborder et de centrer avec précision, de retour pour le match d’ouverture. C’est le genre de nouvelle qui booste tout un groupe. Et pour le public marocain, c’est un symbole fort : leur star est là, prête à en découdre.
D’après les dernières images d’entraînement, il semble en pleine forme. Des accélérations, des centres, tout y est. Reste à voir si le coach prendra le risque de le titulariser d’entrée ou s’il le préserve un peu.
- Sa vitesse sur le couloir droit peut déséquilibrer n’importe quelle défense
- Son leadership sur et hors du terrain est incontestable
- Ses frappes de loin ou ses penalties peuvent faire basculer un match
- Il porte les espoirs d’une nation entière sur ses épaules
Franchement, si Hakimi est à 100%, les Comores vont avoir du pain sur la planche.
Les Autres Stars qui Vont Illuminer Cette CAN
Mais Hakimi n’est pas seul. Cette édition regorge de talents qui évoluent dans les plus grands championnats européens. Des joueurs qu’on suit week-end après week-end et qui vont porter les couleurs de leur pays.
Impossible de ne pas penser à Mohamed Salah, toujours aussi décisif avec l’Égypte. Ou à Sadio Mané, qui rêve de ramener le trophée au Sénégal après leur sacre il y a quelques années. Riyad Mahrez avec l’Algérie, Pierre-Emerick Aubameyang… La liste est longue.
Ce qui rend cette CAN spéciale, c’est ce mélange entre expérience et jeunesse. Des cadres qui connaissent la compétition sur le bout des doigts, et des nouveaux qui arrivent avec une faim immense.
| Joueur | Pays | Point fort |
| Achraf Hakimi | Maroc | Vitesse et leadership |
| Mohamed Salah | Égypte | Finition clinique |
| Sadio Mané | Sénégal | Explosivité |
| Riyad Mahrez | Algérie | Technique pure |
Ce tableau donne juste un aperçu. Il y en a tellement d’autres qui mériteraient d’y figurer.
Les Pépites à Suivre de Près
Et puis, il y a ces jeunes talents qu’on va découvrir ou redécouvrir. Ceux qui pourraient exploser lors de cette compétition et attirer les regards des plus grands clubs.
Des noms circulent déjà : Carlos Baleba au Cameroun, avec son milieu de terrain imposant. Anis Hadj Moussa en Algérie, qui dribble comme personne. Ibrahim Maza, Ibrahim Mbaye… La nouvelle génération pousse fort.
L’aspect le plus excitant, c’est qu’ils n’ont rien à perdre. Ils arrivent souvent sans la pression des stars établies et peuvent créer des surprises. Souvenez-vous de certains joueurs qui ont marqué l’histoire de la CAN en sortant de nulle part.
- Observer leurs premiers matchs pour repérer leur style
- Noter leur capacité à performer sous pression
- Comparer avec les cadres de leur équipe
- Imaginer leur potentiel dans les grands championnats
Si vous aimez dénicher les talents de demain, cette CAN va être un régal.
Pourquoi Cette Édition Pourrait Être la Plus Belle
On en parle beaucoup : le Maroc veut organiser la plus belle CAN de l’histoire. Et quand on voit les infrastructures, on comprend pourquoi.
Des stades ultra-modernes à Rabat, Casablanca, Tanger, Agadir… Partout, les enceintes ont été rénovées ou construites pour l’occasion. Climatisation, pelouses parfaites, capacités importantes. Tout est réuni pour que les joueurs donnent le meilleur.
Mais au-delà des installations, c’est l’ambiance qui fait la différence. Le public marocain est connu pour sa passion. Ces supporters qui chantent pendant 90 minutes, qui créent une atmosphère étouffante pour les adversaires. Ça peut devenir un véritable atout.
Des stades magnifiques, une organisation au top et un public en feu : tous les ingrédients sont là pour une compétition inoubliable.
Et puis, il y a cette période de fin d’année. Une CAN en décembre-janvier, c’est nouveau pour beaucoup. L’occasion de prolonger la magie des fêtes avec du grand football.
Les Favoris et les Outsiders
Difficile de ne pas placer le Maroc parmi les grands favoris. Jouer à domicile, avec cette équipe talentueuse, ça pèse lourd. Mais la concurrence est rude.
Le Sénégal, champion en titre, arrive avec l’envie de conserver son trophée. L’Algérie veut effacer ses dernières déceptions. La Côte d’Ivoire, vainqueur il y a deux ans, reste solide. L’Égypte et ses sept titres historiques ne sont jamais loin.
Et n’oublions pas les outsiders capables de tout. Le Cameroun, le Nigeria, le Mali… Des équipes qui peuvent battre n’importe qui un soir inspiré.
Ce qui rend cette CAN imprévisible, c’est justement ce niveau homogène. Un match d’ouverture comme Maroc-Comores pourrait donner le ton : si les favoris trébuchent d’entrée, tout peut basculer rapidement.
Ce Qui Nous Attend Jusqu’au 18 Janvier
Du 21 décembre au 18 janvier, on va vivre un mois de football intense. Six groupes, des matchs tous les jours ou presque, des soirées devant l’écran à vibrer.
Les phases de poules vont déjà nous donner des indications. Qui va dominer son groupe ? Qui va surprendre ? Et puis viendront les huitièmes, les quarts avec leurs drames potentiels, les demies tendues et cette finale qui couronnera le nouveau champion.
Personnellement, j’ai hâte de voir comment le Maroc va gérer cette pression constante. Vont-ils transformer l’enjeu en force ? Ou est-ce que le poids des attentes sera trop lourd ?
En attendant, ce soir c’est le début de tout. La cérémonie, le match, les premières émotions. Une chose est sûre : le football africain va encore nous faire rêver. Et qui sait, peut-être que dans un mois, on parlera de cette CAN 2025 comme d’une édition légendaire.
Alors, prêt à vivre cette aventure ? Le coup d’envoi est imminent, et quelque chose me dit qu’on ne va pas être déçus.