Vous savez ce que j’aime avec la Coupe de France ? Cette capacité à nous faire vibrer dès le mois de janvier, quand le championnat tourne parfois en roue libre. Cette année encore, les 16es de finale s’annoncent passionnants, avec leur lot de duels entre gros et petits, de derbys inattendus et d’exploits potentiels. Franchement, rien que d’y penser, on sent déjà l’odeur de l’herbe humide et l’ambiance électrique des stades.
Après un tirage au sort qui a fait couler pas mal d’encre, on connaît enfin tous les détails pratiques. Dates, horaires, diffuseurs… Tout est calé pour qu’on puisse organiser nos soirées foot sans rater une miette. Et croyez-moi, il y a de quoi se régaler sur plusieurs jours.
Le Programme Détaillé des 16es de Finale de la Coupe de France
Les hostilités démarrent vraiment le week-end du 10 janvier 2026. Neuf matchs sont prévus le samedi, étalés sur trois créneaux horaires. C’est du classique, mais toujours efficace pour maximiser le spectacle.
Samedi 10 janvier : une journée marathon
Le coup d’envoi sera donné dès 15h30 pour certains matchs, avant un gros bloc à 18h et un dernier à 21h. Le diffuseur principal a prévu un multiplex autour de deux affiches particulièrement alléchantes : un club de National face à un cador de Ligue 1, et surtout cette équipe de National 2 qui a déjà créé la surprise en sortant un pensionnaire de l’élite au tour précédent.
Avouez que ça donne envie. Voir ces joueurs amateurs ou semi-pros se mesurer aux stars qu’on suit toute la saison, c’est précisément ce qui fait le sel de cette compétition. Personnellement, je trouve que ces rencontres-là résument tout l’esprit de la Coupe : du rêve, de l’audace, et parfois des larmes de joie.
Tous ces matchs du samedi seront à suivre en exclusivité sur les chaînes dédiées au football payant. Le multiplex permettra de zapper entre les pelouses sans perdre le fil, une formule qu’on apprécie de plus en plus.
Dimanche 11 janvier : le choc des anciens grands
Quatre rencontres sont programmées ce dimanche. Là encore, un multiplex dès 18h pour les matchs les plus précoces, avant le plat de résistance à 21h : un duel entre deux clubs historiques du football français, tous les deux en Ligue 1. Lille contre Lyon, ça sent la poudre, non ?
Quand deux équipes de ce calibre se croisent si tôt dans la compétition, on sait qu’on va assister à un vrai combat tactique, avec des joueurs qui n’ont pas envie de rentrer en vacances prématurément.
Ce match-là sera évidemment très suivi. Les supporters des deux camps vont se déplacer en nombre, et l’ambiance promet d’être bouillante. C’est le genre de rencontre qui peut relancer une saison ou, au contraire, plomber le moral pour plusieurs semaines.
Lundi 12 janvier : le derby parisien sous les projecteurs
Et puis il y a ce match qu’on attend tous avec une curiosité mêlée d’excitation : le derby de la capitale. Oui, le PSG face au Paris FC, une semaine seulement après s’être affrontés en championnat. Le calendrier fait parfois bien les choses, ou pas, selon le point de vue.
Ce 16e de finale a été décalé au lundi soir, à 21h10 précisément, pour une raison simple : les Parisiens du PSG disputent le Trophée des Champions quelques jours plus tôt, loin, très loin de l’Hexagone. Un déplacement qui impose une récupération nécessaire.
Ce qui rend cette affiche encore plus spéciale, c’est sa diffusion. Exceptionnellement, elle sera proposée à la fois sur la chaîne payante habituelle et sur le service public. Une belle opportunité pour tous les amateurs de foot de ne rien manquer de ce choc intra-parisien.
Entre les stars internationales d’un côté et l’équipe promue pleine d’ambition de l’autre, on peut s’attendre à tout. Une formalité ? Peut-être sur le papier. Mais dans un derby, surtout en coupe, les comptes se règlent différemment. J’ai le souvenir de quelques surprises dans le passé qui me font garder une petite part de prudence.
Mardi 13 janvier : la cerise sur le gâteau avec Marseille
La semaine se conclura en beauté le mardi soir. Un club de Régional 1 reçoit l’Olympique de Marseille à 21h. Le genre de soirée dont on parle encore des années plus tard si l’exploit a lieu.
Juste avant le coup d’envoi, le tirage au sort des 8es de finale sera effectué en direct. Une petite cérémonie qui ajoute du suspense : les vainqueurs sauront immédiatement contre qui ils continueront l’aventure, ou rêveront de continuer.
Pourquoi cette programmation étalée plaît autant
On pourrait se dire qu’étaler les matchs sur quatre jours dilue l’intensité. Moi je pense l’inverse. En répartissant les affiches comme ça, chaque rencontre gagne en visibilité. On évite la saturation, on donne le temps aux supporters de se déplacer, et surtout, on maximise l’audience télé.
Et puis, soyons honnêtes, en plein cœur de l’hiver, avoir du foot de coupe presque tous les soirs pendant une petite semaine, c’est un vrai cadeau. Ça réchauffe l’ambiance quand il fait froid dehors.
- Plus de multiplex pour suivre plusieurs matchs en même temps
- Des horaires variés pour convenir à tout le monde
- Une exposition maximale pour les petits clubs
- Des prime times réservés aux plus grosses affiches
Cette organisation réfléchie montre que la vieille dame qu’est la Coupe de France sait se moderniser sans perdre son âme. C’est tout un art de balancer entre tradition et exigences télévisuelles actuelles.
Les diffuseurs au cœur de la fête
La grande majorité des rencontres sera diffusée sur la plateforme qui détient les droits principaux. Mais la codiffusion du derby parisien sur une chaîne gratuite est un vrai bonus. Ça permet à ceux qui n’ont pas l’abonnement de profiter quand même du spectacle.
Je trouve ça plutôt malin. La Coupe de France, c’est le patrimoine de tout le football français, pas seulement des abonnés. Ouvrir une affiche aussi symbolique à un large public, c’est une façon de rappeler que cette compétition appartient à tout le monde.
Quelles surprises peut-on attendre ?
La question que tout le monde se pose, évidemment. Est-ce que les petits vont encore créer l’exploit ? L’équipe de N2 qui reçoit Strasbourg a déjà montré qu’elle ne venait pas pour faire de la figuration. Et que dire du club de R1 face à Marseille ?
Dans cette compétition, l’histoire s’écrit souvent à l’envers du papier. Les écarts de division ne veulent plus dire grand-chose quand la motivation est à son maximum. Je me souviens encore de certaines éliminations retentissantes ces dernières années qui ont marqué les esprits.
Après, les gros matchs entre équipes de Ligue 1 risquent aussi de réserver leur lot d’émotions. Lille-Lyon, par exemple, c’est rarement tranquille. Et le derby parisien, même s’il paraît déséquilibré, pourrait nous offrir quelques sueurs froides.
L’aspect peut-être le plus intéressant, c’est cette densité de matchs en si peu de jours. Les organismes vont être mis à rude épreuve, surtout pour les clubs encore engagés en coupe d’Europe ou ceux qui reviennent de loin. La gestion des effectifs va jouer un rôle déterminant.
Comment bien préparer ses soirées foot
Un petit conseil d’ami : bloquez déjà vos agendas. Entre le multiplex du samedi, le choc du dimanche et le derby du lundi, vous risquez de passer pas mal d’heures devant l’écran. Prévoir les pizzas, les bières (avec modération), et les amis, c’est la base.
Et si vous avez la chance d’habiter près d’un stade concerné, pourquoi ne pas tenter l’expérience en live ? Rien ne remplace l’ambiance d’un match de coupe, surtout quand un petit poucet reçoit un géant.
En résumé, ces 16es de finale s’annoncent comme un vrai festival du football français dans toute sa diversité. Des pelouses de Régional aux stars de la Ligue 1, tout le monde va avoir son moment de gloire ou de pression intense.
On a hâte d’y être, pas vous ? Janvier va démarrer sur les chapeaux de roues, et la route vers la finale au Stade de France est encore longue. Mais déjà, ces prochains tours nous promettent des émotions fortes. Le foot, le vrai, celui qui fait rêver.
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