Vous avez senti cette petite pointe d’excitation hier soir quand le tirage au sort a enfin livré le verdict ? Moi oui. On connaît désormais les trois (ou presque trois) adversaires des Bleus pour la Coupe du Monde 2026. Mais franchement, on reste un peu sur notre faim. Parce que savoir contre qui on joue, c’est bien. Savoir où et quand, c’est encore mieux. Et là, il va falloir attendre encore quelques heures. Allez, on se pose deux minutes, on respire, et je vous explique tout ce qu’on sait déjà… et surtout ce qui arrive ce soir.
Le grand dévoilement, c’est pour ce soir 18 heures
Ce samedi 6 décembre, à 18 heures précises heure française, la FIFA va diffuser en direct l’annonce du calendrier complet du premier tour. Et croyez-moi, ils ont intérêt à être prêts : des millions de supporters, français ou pas, vont se ruer sur les chaînes officielles pour enfin pouvoir cocher les dates sur leur agenda. Parce que réserver ses congés 2026 dès maintenant, c’est plus un luxe, c’est une nécessité.
Pourquoi avoir séparé le tirage des adversaires et celui du calendrier ? Tout simplement pour optimiser. Avec 48 équipes et 12 groupes, la logistique ressemble à un puzzle géant. Il faut éviter les trop longs déplacements, gérer les fuseaux horaires, les conditions climatiques, la sécurité, les diffuseurs… Bref, c’est un casse-tête titanesque. La FIFA s’est donné quelques jours pour peaufiner tout ça. Et nous, on patiente.
Ce qu’on sait déjà avec certitude sur le groupe des Bleus
Allez, on récapitule calmement ce qui est déjà gravé dans le marbre :
- Premier match : France – Sénégal
- Deuxième match : France – vainqueur du barrage intercontinental (Bolivie, Suriname ou Irak)
- Troisième match : France – Norvège
L’ordre est donc acté. Ça, c’est une excellente nouvelle. On évite le scénario catastrophe où on aurait pu tomber la Norvège d’Haaland dès le premier match. Le Sénégal en entrée, c’est costaud, mais on sait que les retrouvailles avec 2002 planent toujours. Ensuite un adversaire a priori plus abordable (même si le football réserve parfois des surprises venues de nulle part), et on termine contre les Vikings. Pas mal pour gérer la montée en puissance.
La côte Est, terrain de jeu des Bleus
Autre info capitale : les Bleus évolueront exclusivement sur la côte Est des États-Unis et au Canada. Pourquoi ? Parce que leur groupe a été rattaché à quatre stades magnifiques :
- MetLife Stadium (East Rutherford, près de New York) – 82 500 places
- Gillette Stadium (Foxborough, près de Boston) – 65 000 places
- Lincoln Financial Field (Philadelphie) – 69 000 places
- BMO Field (Toronto, Canada) – 40 000 places (extensible)
Quatre enceintes mythiques, quatre ambiances différentes. Imaginez un France – Sénégal sous les lumières du MetLife devant 80 000 personnes… Ça donne des frissons rien que d’y penser.
Petite particularité : Toronto est le seul stade canadien du lot. Les autres sont tous aux États-Unis, et plutôt proches les uns des autres. Les déplacements seront donc raisonnables, pas de vol transcontinental à répétition comme certains groupes de l’Ouest risquent de subir. Merci la FIFA.
Les dates probables : entre le 11 juin et le 27 juin 2026
La Coupe du Monde 2026 démarre le 11 juin 2026 par le traditionnel match d’ouverture au stade Azteca de Mexico (états-vous prêts pour l’altitude ?). Ensuite, la phase de groupes s’étale sur deux semaines environ.
Pour les groupes de la côte Est, on s’attend à des dates comprises entre le 12-13 juin et le 26-27 juin. Avec trois matchs espacés d’au moins quatre jours (règle FIFA pour la récupération), voilà les scénarios les plus plausibles pour les Bleus :
- France – Sénégal : 15, 16 ou 17 juin
- France – Barragiste : 20, 21 ou 22 juin
- France – Norvège : 25, 26 ou 27 juin
Évidemment, ce soir, on aura la vérité exacte. Mais si vous voulez déjà poser vos congés, visez large entre le 14 et le 28 juin, vous serez tranquille.
Pourquoi ces stades-là et pas d’autres ?
Vous vous demandez peut-être pourquoi pas le Mercedes-Benz d’Atlanta ou le Hard Rock de Miami ? Tout simplement parce que la FIFA a créé des « clusters » géographiques. Chaque groupe est attaché à une zone précise pour limiter les trajets. Résultat : moins de fatigue, moins de décalages horaires internes, plus de fairness.
Et franchement, on ne va pas se plaindre. New York, Boston, Philadelphie, Toronto… c’est quand même la classe ultime. Des villes historiques, des communautés françaises énormes (surtout à New York et au Québec), et des stades qui ont déjà accueilli des finales NFL. L’ambiance s’annonce dingue.
On veut écrire la plus belle histoire possible. On connaît nos adversaires, maintenant on attend les lieux et les dates avec impatience.
Didier Deschamps, juste après le tirage
DD reste fidèle à lui-même : calme, concentré, mais on sent quand même une petite étincelle dans le regard. Il sait que ce Mondial à 48, c’est une opportunité en or pour entrer encore un peu plus dans la légende.
Et après la phase de poules ? Le chemin vers la finale
Bon, on n’est pas encore là, mais avouez qu’on y pense tous. Avec le nouveau format, les deux premiers de chaque groupe et les huit meilleurs troisièmes se qualifient pour les 16es de finale. Soit 32 équipes sur 48 qui passent. Autrement dit, il faudra vraiment faire n’importe quoi pour être éliminés dès le premier tour.
Si les Bleus terminent premiers de leur groupe (ce qui est l’objectif affiché), ils éviteront probablement un gros comme le Brésil ou l’Argentine dès les 16es. En théorie, le tableau s’ouvre plutôt bien jusqu’en quarts. Après… tout peut arriver. Mais c’est une autre histoire.
Comment suivre l’annonce ce soir ?
Rien de plus simple :
- Chaîne officielle FIFA sur YouTube (gratuit)
- Site fifa.com en direct
- Les grandes chaînes sportives françaises diffuseront aussi l’événement
Préparez le popcorn, ouvrez plusieurs onglets, et soyez prêts à hurler de joie (ou pas) quand le calendrier des Bleus tombera. Personnellement, j’ai déjà mon téléphone qui charge à 100 % et mes notifications activées. On ne sait jamais, si jamais la France ouvre le bal au MetLife le 16 juin…
Allez, plus que quelques heures avant de pouvoir enfin rêver concrètement à ce Mondial nord-américain. Entre les stades de folie, le format XXL et ce groupe plutôt clément, tous les ingrédients sont là pour qu’on vive quelque chose d’historique. Rendez-vous ce soir, et que les dieux du football soient avec nous.
Et toi, tu paries sur quel stade pour le premier match ? Dis-moi tout en commentaire, j’ai hâte de lire vos pronostics !
