Dimanche dernier, sous un soleil éclatant, le circuit de Mexico a vibré au rythme des moteurs hurlants et des pneus crissant sur l’asphalte. Le Grand Prix du Mexique a encore une fois tenu ses promesses, avec des dépassements audacieux, des stratégies audacieuses et un suspense à couper le souffle. Personnellement, j’ai toujours trouvé que ce circuit, niché à plus de 2 000 mètres d’altitude, avait une saveur particulière : l’air raréfié met les monoplaces à rude épreuve, et les pilotes doivent puiser dans leurs réserves pour briller. Alors, que s’est-il passé lors de cette 20e course de la saison 2025, et comment les classements des pilotes et des constructeurs ont-ils évolué ? Accrochez-vous, on plonge dans le cœur de l’action.
Un Grand Prix du Mexique Palpitant
Le week-end mexicain a offert un spectacle digne des plus grandes courses de Formule 1. Lando Norris, au volant de sa McLaren, a dominé les débats avec une aisance impressionnante. Parti en pole, il n’a laissé aucune chance à ses adversaires, enchaînant les tours rapides comme s’il dansait avec sa monoplace. Ce n’était pas seulement une victoire, c’était une déclaration : Norris est là pour jouer le titre. Mais derrière lui, la bataille a fait rage, et les surprises n’ont pas manqué.
Ce Grand Prix a montré à quel point la saison 2025 est imprévisible. Chaque course redessine les enjeux.
– Un analyste du sport automobile
Max Verstappen, parti depuis la cinquième place, a une fois de plus prouvé pourquoi il reste un sérieux prétendant au titre. Sa remontée jusqu’au podium, avec un panache qui rappelle ses premières années, a permis à Red Bull de limiter la casse. Mais le véritable coup de théâtre est venu de Ferrari, avec Charles Leclerc, solide deuxième, qui a offert des points cruciaux à son écurie. Et que dire d’Oliver Bearman ? Le jeune pilote Haas a ébloui tout le monde avec une performance qui a secoué le bas du classement des constructeurs.
Classement des Pilotes : Norris Prend les Commandes
Le classement des pilotes après ce Grand Prix est plus serré que jamais. Avec seulement quatre courses restantes, chaque point compte, et les écarts se resserrent. Lando Norris, avec 357 points, a repris la tête du championnat, devançant son coéquipier Oscar Piastri d’un seul point (356). Cette rivalité interne chez McLaren donne du piment à la fin de saison. Max Verstappen, troisième avec 321 points, reste dans la course, mais il devra sortir le grand jeu pour combler l’écart.
- Lando Norris : 357 points, un pilote en pleine confiance.
- Oscar Piastri : 356 points, à un souffle de son coéquipier.
- Max Verstappen : 321 points, toujours dans le coup.
- George Russell : 258 points, solide mais distancé.
- Charles Leclerc : 210 points, la star de Ferrari.
J’ai toujours trouvé fascinant de voir comment un seul Grand Prix peut bouleverser les dynamiques. Norris, avec sa victoire, a envoyé un message clair : il ne lâchera rien. Mais Piastri, cinquième à Mexico, n’a pas dit son dernier mot. Quant à Verstappen, son expérience pourrait faire la différence sur des circuits comme Interlagos ou Abu Dhabi. Une question me trotte dans la tête : et si la lutte pour le titre se jouait sur une erreur stratégique dans la dernière course ?
Constructeurs : Ferrari Devance Mercedes
Chez les constructeurs, McLaren continue de régner en maître. Avec 713 points, l’écurie britannique est intouchable, championne depuis Singapour. Mais la bataille pour la deuxième place est devenue incandescente. Ferrari, grâce à la performance de Leclerc, a chipé la deuxième position à Mercedes avec 356 points contre 355. Red Bull, à 346 points, reste en embuscade, mais leur irrégularité cette saison les handicape.
| Écurie | Points | Position |
| McLaren | 713 | 1er |
| Ferrari | 356 | 2e |
| Mercedes | 355 | 3e |
| Red Bull | 346 | 4e |
| Haas | 62 | 8e |
Ce qui m’a frappé, c’est la montée en puissance de Haas. Grâce à Bearman, l’écurie américaine a doublé Kick Sauber pour s’installer à la huitième place avec 62 points. C’est le genre de performance qui donne espoir aux petites équipes. Ferrari, de son côté, semble avoir trouvé un second souffle. Leur stratégie à Mexico, mêlant audace et précision, pourrait leur permettre de consolider cette deuxième place.
Les Surprises du Grand Prix : Bearman et Haas Étonnent
Parlons un peu d’Oliver Bearman. Ce jeune Britannique, qui court sous les couleurs de Haas, a signé une performance mémorable à Mexico. Sa capacité à gérer la pression et à tirer le maximum de sa monoplace a permis à Haas de marquer des points précieux. Ce genre de course me rappelle pourquoi j’adore la Formule 1 : parfois, ce sont les outsiders qui volent la vedette.
Les petites écuries comme Haas peuvent créer la surprise quand tout s’aligne parfaitement.
– Un commentateur de course
Dans le peloton, d’autres pilotes ont montré leur valeur. Alexander Albon, avec Williams, continue de grappiller des points (73 au total), tandis que Nico Hülkenberg (41 points) prouve que l’expérience reste un atout. Mais pour moi, c’est l’émergence de jeunes talents comme Bearman ou Isack Hadjar (39 points) qui rend cette saison si excitante. Ces rookies n’ont pas peur de se frotter aux cadors.
Quels Enjeux pour la Fin de Saison ?
Avec seulement quatre Grands Prix restants, la tension est à son comble. Chez les pilotes, la lutte entre Norris et Piastri promet des étincelles. Un point d’écart, c’est rien du tout en Formule 1. Une erreur de pilotage, un mauvais choix de pneus, et tout peut basculer. Verstappen, lui, mise sur sa régularité pour revenir dans la course. Mais la question que tout le monde se pose : McLaren peut-elle maintenir cette domination insolente ?
- Le duel McLaren : Norris et Piastri vont-ils se neutraliser ?
- La remontée de Verstappen : Peut-il renverser la vapeur ?
- Ferrari en embuscade : L’écurie italienne peut-elle sécuriser la deuxième place ?
- Les outsiders : Haas et Williams vont-ils continuer à surprendre ?
Je dois avouer que je suis particulièrement curieux de voir comment Ferrari va gérer la pression. Leur stratégie à Mexico était impeccable, mais les circuits à venir, comme São Paulo, demandent une approche différente. Et puis, il y a cette petite voix dans ma tête qui me dit que Verstappen n’a pas encore joué toutes ses cartes. Ce mec a une capacité à rebondir qui défie l’entendement.
Pourquoi le GP du Mexique est si Spécial
Le circuit de Mexico, avec son altitude élevée, est un défi unique. Les moteurs souffrent, les pneus s’usent différemment, et les pilotes doivent être au sommet de leur forme physique. Ajoutez à cela une foule passionnée, et vous obtenez une ambiance électrique. J’ai toujours pensé que ce Grand Prix, avec ses longues lignes droites et ses virages techniques, révélait le vrai caractère des pilotes.
Ce week-end, c’est Norris qui a su tirer son épingle du jeu. Sa gestion de la course, digne d’un métronome, montre à quel point il a progressé. Mais derrière lui, Leclerc et Verstappen ont prouvé que personne ne lâche rien. Et que dire de la performance de Bearman ? Ce gamin a conduit comme s’il était dans la cour des grands depuis des années.
Une Saison 2025 Historique
La saison 2025 de Formule 1 est en train de s’écrire comme l’une des plus disputées de ces dernières années. Avec McLaren qui domine, Ferrari qui renaît et des outsiders comme Haas qui bousculent l’ordre établi, chaque course est une nouvelle page d’histoire. Ce qui me passionne, c’est cette capacité du sport à surprendre. On pense avoir tout vu, et puis un jeune comme Bearman arrive et remet tout en question.
Alors, que nous réserve la fin de saison ? Norris tiendra-t-il bon ? Verstappen va-t-il nous sortir un coup de génie ? Et Ferrari, vont-ils enfin concrétiser leur retour en force ? Une chose est sûre : je serai devant mon écran pour ne rien rater. Et vous, qui voyez-vous sur la plus haute marche à Abu Dhabi ?
Pour l’instant, le classement des pilotes et des constructeurs nous donne un avant-goût d’une bataille épique. Mexico a redistribué les cartes, et la suite promet d’être explosive. Restez branchés, la Formule 1 n’a pas fini de nous faire vibrer.
