Vous est-il déjà arrivé de tomber sur une histoire qui semble tout droit sortie d’un scénario de film ? Moi, oui. Et cette fois, c’est celle de Mareva Michel qui m’a scotché. Une jeune femme de 22 ans qui débarque dans la course à la couronne de Miss France 2026 avec, dans ses bagages, un héritage familial hors norme, un prénom qui porte chance et une cause qui touche des millions de personnes. Franchement, on sent que cette finale va être spéciale.
Mareva Michel, quand le destin écrit l’histoire à l’avance
Imaginez la scène. Vous êtes enfant, vos parents regardent l’élection Miss France 1998 à la télé. Mareva Galanter vient d’être couronnée. Votre mère, enceinte, se tourne vers votre père et lâche : « Si c’est une fille, on l’appellera Mareva. » Vingt-deux ans plus tard, vous voilà en finale nationale avec exactement le même prénom. Coïncidence ? Je ne crois pas trop à ces choses-là, mais là… ça fait quand même froid dans le dos.
Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Sa mère, d’origine mexicaine, a elle-même été élue dans un grand concours de beauté au Mexique. Sa tante aussi. Autant dire que le virus des podiums coule dans les veines de la famille. Mareva n’a pas choisi cette voie par hasard : elle l’a dans le sang.
« Elles m’ont toujours répété que c’était une aventure extraordinaire, qui forge une femme. Quand l’opportunité s’est présentée, je me suis dit : pourquoi pas moi ? »
Un parcours déjà bien rempli avant la couronne nationale
Revenons un peu en arrière. Mareva a d’abord été élue Miss Yvelines, puis Miss Île-de-France en septembre dernier. Deux titres régionaux qui ne tombent pas du ciel. Derrière le sourire éclatant et la silhouette parfaite, il y a des heures de préparation, de répétitions et, surtout, une vraie personnalité.
Actuellement étudiante en école de commerce, elle jongle entre les cours, les shootings et les événements caritatifs. Parce que oui, être Miss aujourd’hui, ce n’est plus seulement défiler. C’est aussi porter des messages. Et le sien est particulièrement fort.
Le combat qui lui tient à cœur : vaincre le cancer du sein
Si elle décroche l’écharpe tant convoitée le 6 décembre à Amiens, Mareva a déjà annoncé la couleur : elle mettra toute son énergie dans la lutte contre le cancer du sein. Elle est déjà marraine de l’association Aidons la Recherche et a collecté des fonds pour l’Institut Curie lorsqu’elle était Miss Yvelines.
Ce n’est pas juste un discours tout fait. C’est une cause qui la touche profondément. Et dans un monde où certaines Miss peinent à trouver un engagement crédible, le sien sonne juste. Très juste même.
- Collecte de dons lors d’événements régionaux
- Sensibilisation auprès des jeunes femmes
- Partenariat avec des chercheurs reconnus
- Visibilité médiatique nationale si élue
On sent qu’elle a déjà tout prévu. Et ça change tout.
Casse-cou un jour, casse-cou toujours
Ne vous fiez pas à l’image lisse de la candidate parfaite. Mareva est une vraie tête brûlée. Passionnée de sports extrêmes, elle pratique le snowboard, le surf, le wakeboard… Bref, tout ce qui fait monter l’adrénaline.
Petite anecdote savoureuse : à 15 ans, elle s’est fracturé les deux bras la veille de Noël en snowboard. Résultat ? Repas de fête avec fourchette attachée au plâtre. Quand on vous dit que cette fille n’a peur de rien…
Ce côté aventurière, elle l’assume totalement. Et je trouve ça rafraîchissant. Enfin une Miss qui montre qu’on peut être féminine, élégante et aimer se lancer dans le vide sans parachute.
Le prénom Mareva : une tradition qui pèse lourd
On y revient, parce que c’est trop fort. Avant elle, il y a eu :
- Mareva Georges – Miss France 1991
- Mareva Galanter – Miss France 1999 (et grande favorite du public à l’époque)
- Et maintenant… Mareva Michel ?
Dans une interview, elle a lâché avec le sourire : « Qui sait ? Peut-être que ce sera mon tour. » Le genre de phrase qui donne des frissons. Parce que, soyons honnêtes, le public adore les belles histoires. Et celle-ci en est une sacrée.
Pourquoi elle pourrait créer la surprise le 6 décembre
Beaucoup de favorites ont déjà un profil tout tracé. Mais Mareva, elle, arrive avec plusieurs atouts dans sa manche :
Son métissage franco-mexicain qui représente parfaitement la France d’aujourd’hui. Son engagement concret et touchant. Sa spontanéité désarmante. Et cette petite touche d’audace qui change des discours trop policés.
Et puis il y a ce feeling. Vous savez, cette impression qu’on a parfois devant certaines candidates : « Celle-là, elle a quelque chose en plus. » Moi, je l’ai.
« Je ne viens pas seulement pour gagner une couronne. Je viens pour porter un message et, peut-être, inspirer d’autres jeunes femmes à se lancer. »
Et ça, ça ne s’apprend pas en cours de préparation.
Ce qu’on retient de Mareva Michel
Une jeune femme qui n’a pas froid aux yeux. Une histoire familiale digne d’un roman. Un prénom chargé de symboles. Un combat qui parle à tout le monde. Et surtout, une authenticité rare dans ce milieu parfois trop formaté.
Le 6 décembre au Zénith d’Amiens, trente candidates défileront. Mais une seule repartira avec l’écharpe. Et si c’était elle ?
En attendant, une chose est sûre : Mareva Michel a déjà gagné quelque chose de plus grand qu’une couronne. Elle a gagné le respect. Et ça, personne ne pourra lui enlever.
Et vous, vous la voyez gagnante ? Dites-moi tout en commentaire, je suis curieux de savoir ce que vous ressentez face à cette candidate pas comme les autres. Parce que, franchement, cette année, tout semble possible.
