Vous êtes-vous déjà demandé ce que ça fait de terminer une année sur une note aussi grandiose ? Paris, en cette fin 2025, ne se contente pas de laisser filer les douze derniers mois : elle les célèbre, les sublime, les projette littéralement sur ses monuments les plus emblématiques. Et devinez qui occupe le devant de la scène pour le passage à 2026 ? Le football parisien, rien de moins. Moi qui ai suivi de près l’épopée du club de la capitale cette année, je trouve ça presque logique. Après tout, quand on remporte six trophées en une seule année civile, dont le plus convoité d’Europe, on mérite bien un peu de lumière… et pas qu’un peu.
Quand Paris fait briller son football pour le Nouvel An
Le 31 décembre 2025, les Champs-Élysées ne vibreront pas seulement au rythme des comptes à rebours et des explosions pyrotechniques. Dès 23h50, un immense mapping vidéo transformera l’Arc de Triomphe en toile vivante. Et parmi les tableaux qui défileront, deux rendront directement hommage au football de la ville. Le premier ? Une célébration éclatante du Ballon d’Or remporté par Ousmane Dembélé en septembre dernier. Le second ? Un clin d’œil malicieux aux deux derbys très attendus contre le Paris FC en ce début janvier. C’est beau, c’est symbolique, et franchement, ça donne des frissons rien que d’y penser.
Je me souviens encore de l’ambiance électrique place de l’Étoile après la finale de Ligue des champions en mai. Des milliers de supporters avaient envahi les lieux pour fêter le sacre européen. Et voilà que l’histoire se répète, mais en version officielle, orchestrée par la Ville elle-même. C’est une reconnaissance qui va bien au-delà du simple clin d’œil sportif : c’est Paris qui dit merci à ses couleurs pour une année exceptionnelle.
Une année 2025 historique pour le club parisien
Revenons un instant en arrière, parce que sans comprendre l’ampleur de ce que 2025 a représenté, le mapping du Nouvel An perd un peu de son sel. Le club a tout simplement tout gagné, ou presque. Trophée des Champions en janvier pour lancer la machine, Ligue 1 maîtrisée avec plusieurs journées d’avance, Coupe de France arrachée dans un scénario haletant, puis le Graal : la Ligue des champions avec une finale qui restera dans les annales. Ajoutez à cela la Supercoupe d’Europe et la Coupe Intercontinentale en fin d’année, et vous obtenez six trophées en une année civile. Du jamais-vu pour le club.
Et au milieu de cette razzia, un homme a émergé comme le symbole absolu : Ousmane Dembélé. Arrivé il y a quelques saisons déjà, il a longtemps été vu comme un talent brut mais inconstant. 2025 a tout changé. Des stats impressionnantes (plus de 30 buts et une quinzaine de passes décisives toutes compétitions confondues), un rôle central dans le jeu collectif, et surtout cette capacité à briller dans les moments qui comptent vraiment. La finale européenne ? Deux passes décisives et une présence partout. Le Ballon d’Or en septembre au Théâtre du Châtelet ? Une consécration logique pour le sixième Français de l’histoire à le remporter.
Ce n’est pas seulement une récompense individuelle, c’est la preuve que le travail collectif peut propulser un joueur au sommet.
– Un proche du vestiaire parisien
J’aime bien cette idée. Dembélé lui-même n’a cessé de répéter qu’il ne serait rien sans ses coéquipiers. Et pourtant, quand on revoit ses accélérations, ses frappes enroulées ou ses centres millimétrés, on se dit que certains soirs, il était tout simplement injouable. Le mapping sur l’Arc de Triomphe va immortaliser ce trophée doré, et je parie que la foule applaudira à tout rompre.
Le derby parisien : quand le foot local prend une autre dimension
Le deuxième tableau du mapping réserve une surprise tout aussi savoureuse : une évocation des deux affrontements entre le PSG et le Paris FC prévus en ce début 2026. Le premier dès le 4 janvier en championnat, le second le 12 en Coupe de France. Deux derbys en une semaine, dans un même stade qui plus est. Pour un choc qui n’avait plus eu lieu en première division depuis… 1978-1979. Autant dire que c’est un événement.
- Dimanche 4 janvier : première confrontation officielle en Ligue 1 depuis 46 ans.
- Lundi 12 janvier : 16es de finale de Coupe de France, avec l’enjeu d’une qualification.
- Deux matchs au Parc des Princes : avantage terrain pour le grand frère, mais motivation maximale pour le petit voisin promu.
Ce qui rend l’hommage encore plus fort, c’est le message sous-jacent : Paris est une ville de foot, pas seulement d’un seul club. Le Paris FC, souvent dans l’ombre, mérite lui aussi sa place dans la lumière. Et la Ville a choisi ce moment symbolique pour le rappeler. Personnellement, je trouve ça classe. Ça change des éternelles querelles stériles entre supporters. Ici, c’est une célébration du foot parisien dans son ensemble.
Imaginez la scène : l’Arc de Triomphe qui affiche les logos des deux clubs, des images d’intensité, peut-être même un plan symbolique des deux stades séparés par quelques rues seulement. Ça va faire du bruit, au sens propre comme au figuré.
Le programme complet de la soirée : entre tradition et modernité
Pas de concert géant cette année, contrairement aux éditions précédentes. La Préfecture a préféré miser sur la sécurité maximale face à l’affluence attendue. Les Champs-Élysées ouvrent dès 19h, filtrage obligatoire, interdiction des bouteilles en verre et de l’alcool à emporter dans la zone. À 23h50, le mapping démarre : une création originale mêlant musique et visuels, avec des hommages à Paris capitale des arts, au jumelage avec Rome (70 ans en 2026), et donc au sport local.
Puis, à minuit pile, le feu d’artifice embrase le ciel. Classique, efficace, toujours aussi magique. Et au milieu de tout ça, ces deux clins d’œil au PSG qui vont faire hurler de joie des milliers de supporters présents. Moi, je serai probablement devant ma télé, un verre à la main, à sourire bêtement devant tant de beauté.
Pourquoi cet hommage résonne si fort en 2026 ?
Parce que 2025 a été une parenthèse enchantée pour le football français. On parle beaucoup des échecs passés, des attentes déçues, des milliards dépensés sans retour. Et là, d’un coup, tout s’aligne : un coach qui impose sa patte, un collectif qui joue ensemble, un leader charismatique qui explose. Le Ballon d’Or de Dembélé n’est pas un accident ; c’est le couronnement d’une saison parfaite.
Et le fait que la Ville de Paris intègre ça dans ses festivités officielles montre à quel point le sport est ancré dans l’identité de la capitale. Ce n’est pas juste du foot. C’est du patrimoine vivant. Des gamins qui rêvent en voyant leur idole projetée sur un monument vieux de deux siècles. Des familles qui se rassemblent pour partager un moment unique. Des touristes qui repartent avec une anecdote improbable : « J’ai vu le Ballon d’Or sur l’Arc de Triomphe ! »
Et après ? Les derbys pour prolonger la magie
Le Nouvel An ne sera pas une fin, mais plutôt un tremplin. Dès le 4 janvier, le Parc des Princes va rugir pour le premier derby officiel en championnat depuis des décennies. Le Paris FC, promu et ambitieux, ne viendra pas en victime. Ils jouent le maintien, ils ont l’envie de bousculer l’ordre établi. Puis, huit jours plus tard, rebelote en Coupe : un match à élimination directe, où tout peut arriver.
- Préparation intense pour les deux équipes : repos court après les fêtes.
- Enjeu sportif majeur : points précieux en Ligue 1, prestige en Coupe.
- Ambiance garantie : les supporters des deux camps déjà chauffés à blanc par le mapping.
Je ne sais pas vous, mais moi j’ai hâte. Ces deux matchs risquent de marquer le début d’une rivalité moderne, respectueuse mais intense. Et tout a commencé par une projection sur le monument le plus célèbre de France. C’est presque poétique.
Un moment de communion pour tous les amoureux du foot
Ce qui me touche le plus dans cette histoire, c’est l’aspect fédérateur. Le PSG domine, oui, mais la Ville choisit de célébrer aussi le Paris FC. Le Ballon d’Or va à un joueur français formé localement, qui incarne la persévérance. Et tout ça se passe sous les yeux du monde entier, parce que Paris reste Paris : quand elle fête, elle le fait en grand.
Alors ce 31 décembre, si vous êtes dans le coin, levez les yeux vers l’Arc. Vous verrez peut-être un bout d’histoire en mouvement. Et si vous êtes chez vous, allumez la télé. Parce que franchement, rater ça serait dommage. Une année se termine en apothéose, une autre commence avec des promesses de frissons. Joyeux Nouvel An, et que le foot continue de nous faire rêver.
Maintenant, dites-moi en commentaire : est-ce que vous pensez que ces derbys vont marquer les esprits ? Et surtout, qui l’emporte le 4 janvier ? Allez, on débat !
