Un casting de coachs explosif
Cette année, on retrouve un quatuor plutôt inattendu :
- Florent Pagny, le sage revenu pour une ultime saison (paraît-il)
- Amel Bent, la grande sœur toujours aussi cash
- Lara Fabian, l’émotion à fleur de peau
- Et Tayc, le petit nouveau qui n’a clairement pas l’intention de faire de la figuration
Quatre générations, quatre styles, quatre façons de vivre la musique. Et croyez-moi, dès que les buzzers commencent à pleuvoir, on sent tout de suite que Tayc ne joue pas dans la même catégorie que les autres.
Pourquoi Tayc était le chaînon manquant
On va être honnête deux secondes. Ces dernières saisons, il manquait un peu de fraîcheur, de spontanéité, de peps comme on dit chez les jeunes. Les coachs étaient excellents, bien sûr, mais parfois un peu trop dans la retenue. Tayc, lui, arrive avec son flow naturel, ses expressions de quartier et son humour qui tape juste.
« Moi je suis venu pour gagner, pas pour participer poliment. »
– Phrase entendue dans les couloirs du tournage
Et ça se voit. Il danse sur son fauteuil, il chambre, il se lève pour aller féliciter les talents sur scène, il parle créole, il fait des blagues que seul le public jeune capte immédiatement. En deux jours, il a déjà sa fanbase dans la salle qui scande son nom entre chaque prestation.
Les moments qui ont marqué les auditions
Je ne vais pas vous spoiler les talents (promis, pas un nom), mais quelques séquences resteront gravées :
- Quand Tayc buzz en premier sur une reprise afrobeats et se met à danser comme à la maison
- Le moment où il bloque Amel Bent sur un talent en lançant « Désolé ma sœur, celui-là il est pour moi ! » avec un clin d’œil assassin
- L’instant où Florent Pagny lui dit, mi-amusé mi-sérieux : « Toi t’es dangereux, tu vas tous nous manger »
- Et surtout, la fois où une candidate lui répond cash et qu’il sort la fameuse punchline sur la daronne… le plateau a mis cinq bonnes minutes à se calmer
Ces moments-là, c’est exactement ce qui manquait à l’émission : de l’authenticité, de l’énergie brute, du rire franc.
Tayc, plus qu’un chanteur : une personnalité télé
On le savait déjà gagnant de Danse avec les stars en 2021, on savait qu’il remplissait les salles avec ses concerts, mais là, on découvre autre chose : l’homme est taillé pour la télé. Charisme naturel, répartie immédiate, il sait parler aux jeunes sans jamais tomber dans le ridicule « daron qui veut faire jeune ».
Ses arguments pour récupérer les talents ? Pas de grandes phrases toutes faites. Il parle de vibe, de famille, de transmission. Il dit souvent : « Viens, on va faire l’histoire ensemble. » Et ça marche. Terriblement bien.
D’ailleurs, petite confidence de tournage : plusieurs talents m’ont glissé après leur passage qu’ils avaient hésité entre deux coachs… mais que l’énergie de Tayc avait fini de les convaincre. C’est dire.
2026 : l’année où The Voice rajeunit vraiment ?
Avec ce nouveau coach, l’émission semble prendre un virage. Moins guindée, plus urbaine, connectée à la nouvelle génération. On sent que la production a compris qu’il fallait injecter du sang neuf pour garder le programme au sommet après quinze ans.
Et ça fonctionne. Le public présent était bien plus jeune que les années précédentes, les réseaux sociaux s’enflamment déjà autour des extraits qui circulent (même si officiellement rien n’est diffusé avant 2026), et les autres coachs, loin d’être effacés, semblent revigorés par cette concurrence amicale mais féroce.
Parce que oui, Amel Bent n’a pas dit son dernier mot, Lara Fabian fait toujours pleurer la France entière, et Florent Pagny reste Florent Pagny. Mais Tayc, lui, apporte la petite étincelle qui peut tout faire basculer.
Verdict personnel après deux jours de tournage
Je suis reparti du studio avec une certitude : cette saison 15 risque d’être l’une des plus mémorables depuis longtemps. Pas seulement pour les talents (qui sont, comme toujours, impressionnants), mais pour l’ambiance générale. On rit, on vibre, on s’engueule gentiment, on se chamaille pour un buzzer… Bref, on vit.
Et si Tayc continue sur cette lancée, il ne sera pas juste « le nouveau coach ». Il pourrait bien devenir le phénomène de l’année télé. Rien que ça.
Alors oui, rendez-vous en 2026 pour découvrir tout ça à l’écran. Mais une chose est sûre : le fauteuil rouge ne sera plus jamais tout à fait le même.
Et vous, vous pensez que Tayc va rafler tous les meilleurs talents ou les anciens vont lui tenir tête ? Dites-moi tout en commentaire, je suis curieux de savoir ce que vous en pensez avant même la diffusion !
Quand Tayc transforme The Voice en ring de punchlines
Je ne sais pas vous, mais moi, j’ai toujours trouvé que les premières auditions à l’aveugle étaient un peu trop policées ces dernières années. Tout le monde est gentil, tout le monde se félicite, on dirait presque une colonie de vacances version chanson française. Eh bien cette saison 15, c’est terminé. Tayc est là pour rappeler que la télé, ça peut aussi être du spectacle pur et dur.
Dès le premier jour (j’étais présent le deuxième), les autres coachs sentaient déjà la différence. Une phrase lancée par une candidate, un peu trop confiante, et paf : « Tu verras ça avec ma daronne ! ». Le plateau explose de rire, le public hurle, les caméras zooment sur un Tayc hilare et fier de sa vanne. C’était parti pour une guerre joyeuse, mais une guerre quand même.
Un casting de coachs explosif
Cette année, on retrouve un quatuor plutôt inattendu :
- Florent Pagny, le sage revenu pour une ultime saison (paraît-il)
- Amel Bent, la grande sœur toujours aussi cash
- Lara Fabian, l’émotion à fleur de peau
- Et Tayc, le petit nouveau qui n’a clairement pas l’intention de faire de la figuration
Quatre générations, quatre styles, quatre façons de vivre la musique. Et croyez-moi, dès que les buzzers commencent à pleuvoir, on sent tout de suite que Tayc ne joue pas dans la même catégorie que les autres.
Pourquoi Tayc était le chaînon manquant
On va être honnête deux secondes. Ces dernières saisons, il manquait un peu de fraîcheur, de spontanéité, de peps comme on dit chez les jeunes. Les coachs étaient excellents, bien sûr, mais parfois un peu trop dans la retenue. Tayc, lui, arrive avec son flow naturel, ses expressions de quartier et son humour qui tape juste.
« Moi je suis venu pour gagner, pas pour participer poliment. »
– Phrase entendue dans les couloirs du tournage
Et ça se voit. Il danse sur son fauteuil, il chambre, il se lève pour aller féliciter les talents sur scène, il parle créole, il fait des blagues que seul le public jeune capte immédiatement. En deux jours, il a déjà sa fanbase dans la salle qui scande son nom entre chaque prestation.
Les moments qui ont marqué les auditions
Je ne vais pas vous spoiler les talents (promis, pas un nom), mais quelques séquences resteront gravées :
- Quand Tayc buzz en premier sur une reprise afrobeats et se met à danser comme à la maison
- Le moment où il bloque Amel Bent sur un talent en lançant « Désolé ma sœur, celui-là il est pour moi ! » avec un clin d’œil assassin
- L’instant où Florent Pagny lui dit, mi-amusé mi-sérieux : « Toi t’es dangereux, tu vas tous nous manger »
- Et surtout, la fois où une candidate lui répond cash et qu’il sort la fameuse punchline sur la daronne… le plateau a mis cinq bonnes minutes à se calmer
Ces moments-là, c’est exactement ce qui manquait à l’émission : de l’authenticité, de l’énergie brute, du rire franc.
Tayc, plus qu’un chanteur : une personnalité télé
On le savait déjà gagnant de Danse avec les stars en 2021, on savait qu’il remplissait les salles avec ses concerts, mais là, on découvre autre chose : l’homme est taillé pour la télé. Charisme naturel, répartie immédiate, il sait parler aux jeunes sans jamais tomber dans le ridicule « daron qui veut faire jeune ».
Ses arguments pour récupérer les talents ? Pas de grandes phrases toutes faites. Il parle de vibe, de famille, de transmission. Il dit souvent : « Viens, on va faire l’histoire ensemble. » Et ça marche. Terriblement bien.
D’ailleurs, petite confidence de tournage : plusieurs talents m’ont glissé après leur passage qu’ils avaient hésité entre deux coachs… mais que l’énergie de Tayc avait fini de les convaincre. C’est dire.
2026 : l’année où The Voice rajeunit vraiment ?
Avec ce nouveau coach, l’émission semble prendre un virage. Moins guindée, plus urbaine, connectée à la nouvelle génération. On sent que la production a compris qu’il fallait injecter du sang neuf pour garder le programme au sommet après quinze ans.
Et ça fonctionne. Le public présent était bien plus jeune que les années précédentes, les réseaux sociaux s’enflamment déjà autour des extraits qui circulent (même si officiellement rien n’est diffusé avant 2026), et les autres coachs, loin d’être effacés, semblent revigorés par cette concurrence amicale mais féroce.
Parce que oui, Amel Bent n’a pas dit son dernier mot, Lara Fabian fait toujours pleurer la France entière, et Florent Pagny reste Florent Pagny. Mais Tayc, lui, apporte la petite étincelle qui peut tout faire basculer.
Verdict personnel après deux jours de tournage
Je suis reparti du studio avec une certitude : cette saison 15 risque d’être l’une des plus mémorables depuis longtemps. Pas seulement pour les talents (qui sont, comme toujours, impressionnants), mais pour l’ambiance générale. On rit, on vibre, on s’engueule gentiment, on se chamaille pour un buzzer… Bref, on vit.
Et si Tayc continue sur cette lancée, il ne sera pas juste « le nouveau coach ». Il pourrait bien devenir le phénomène de l’année télé. Rien que ça.
Alors oui, rendez-vous en 2026 pour découvrir tout ça à l’écran. Mais une chose est sûre : le fauteuil rouge ne sera plus jamais tout à fait le même.
Et vous, vous pensez que Tayc va rafler tous les meilleurs talents ou les anciens vont lui tenir tête ? Dites-moi tout en commentaire, je suis curieux de savoir ce que vous en pensez avant même la diffusion !
Quand Tayc transforme The Voice en ring de punchlines
Je ne sais pas vous, mais moi, j’ai toujours trouvé que les premières auditions à l’aveugle étaient un peu trop policées ces dernières années. Tout le monde est gentil, tout le monde se félicite, on dirait presque une colonie de vacances version chanson française. Eh bien cette saison 15, c’est terminé. Tayc est là pour rappeler que la télé, ça peut aussi être du spectacle pur et dur.
Dès le premier jour (j’étais présent le deuxième), les autres coachs sentaient déjà la différence. Une phrase lancée par une candidate, un peu trop confiante, et paf : « Tu verras ça avec ma daronne ! ». Le plateau explose de rire, le public hurle, les caméras zooment sur un Tayc hilare et fier de sa vanne. C’était parti pour une guerre joyeuse, mais une guerre quand même.
Un casting de coachs explosif
Cette année, on retrouve un quatuor plutôt inattendu :
- Florent Pagny, le sage revenu pour une ultime saison (paraît-il)
- Amel Bent, la grande sœur toujours aussi cash
- Lara Fabian, l’émotion à fleur de peau
- Et Tayc, le petit nouveau qui n’a clairement pas l’intention de faire de la figuration
Quatre générations, quatre styles, quatre façons de vivre la musique. Et croyez-moi, dès que les buzzers commencent à pleuvoir, on sent tout de suite que Tayc ne joue pas dans la même catégorie que les autres.
Pourquoi Tayc était le chaînon manquant
On va être honnête deux secondes. Ces dernières saisons, il manquait un peu de fraîcheur, de spontanéité, de peps comme on dit chez les jeunes. Les coachs étaient excellents, bien sûr, mais parfois un peu trop dans la retenue. Tayc, lui, arrive avec son flow naturel, ses expressions de quartier et son humour qui tape juste.
« Moi je suis venu pour gagner, pas pour participer poliment. »
– Phrase entendue dans les couloirs du tournage
Et ça se voit. Il danse sur son fauteuil, il chambre, il se lève pour aller féliciter les talents sur scène, il parle créole, il fait des blagues que seul le public jeune capte immédiatement. En deux jours, il a déjà sa fanbase dans la salle qui scande son nom entre chaque prestation.
Les moments qui ont marqué les auditions
Je ne vais pas vous spoiler les talents (promis, pas un nom), mais quelques séquences resteront gravées :
- Quand Tayc buzz en premier sur une reprise afrobeats et se met à danser comme à la maison
- Le moment où il bloque Amel Bent sur un talent en lançant « Désolé ma sœur, celui-là il est pour moi ! » avec un clin d’œil assassin
- L’instant où Florent Pagny lui dit, mi-amusé mi-sérieux : « Toi t’es dangereux, tu vas tous nous manger »
- Et surtout, la fois où une candidate lui répond cash et qu’il sort la fameuse punchline sur la daronne… le plateau a mis cinq bonnes minutes à se calmer
Ces moments-là, c’est exactement ce qui manquait à l’émission : de l’authenticité, de l’énergie brute, du rire franc.
Tayc, plus qu’un chanteur : une personnalité télé
On le savait déjà gagnant de Danse avec les stars en 2021, on savait qu’il remplissait les salles avec ses concerts, mais là, on découvre autre chose : l’homme est taillé pour la télé. Charisme naturel, répartie immédiate, il sait parler aux jeunes sans jamais tomber dans le ridicule « daron qui veut faire jeune ».
Ses arguments pour récupérer les talents ? Pas de grandes phrases toutes faites. Il parle de vibe, de famille, de transmission. Il dit souvent : « Viens, on va faire l’histoire ensemble. » Et ça marche. Terriblement bien.
D’ailleurs, petite confidence de tournage : plusieurs talents m’ont glissé après leur passage qu’ils avaient hésité entre deux coachs… mais que l’énergie de Tayc avait fini de les convaincre. C’est dire.
2026 : l’année où The Voice rajeunit vraiment ?
Avec ce nouveau coach, l’émission semble prendre un virage. Moins guindée, plus urbaine, connectée à la nouvelle génération. On sent que la production a compris qu’il fallait injecter du sang neuf pour garder le programme au sommet après quinze ans.
Et ça fonctionne. Le public présent était bien plus jeune que les années précédentes, les réseaux sociaux s’enflamment déjà autour des extraits qui circulent (même si officiellement rien n’est diffusé avant 2026), et les autres coachs, loin d’être effacés, semblent revigorés par cette concurrence amicale mais féroce.
Parce que oui, Amel Bent n’a pas dit son dernier mot, Lara Fabian fait toujours pleurer la France entière, et Florent Pagny reste Florent Pagny. Mais Tayc, lui, apporte la petite étincelle qui peut tout faire basculer.
Verdict personnel après deux jours de tournage
Je suis reparti du studio avec une certitude : cette saison 15 risque d’être l’une des plus mémorables depuis longtemps. Pas seulement pour les talents (qui sont, comme toujours, impressionnants), mais pour l’ambiance générale. On rit, on vibre, on s’engueule gentiment, on se chamaille pour un buzzer… Bref, on vit.
Et si Tayc continue sur cette lancée, il ne sera pas juste « le nouveau coach ». Il pourrait bien devenir le phénomène de l’année télé. Rien que ça.
Alors oui, rendez-vous en 2026 pour découvrir tout ça à l’écran. Mais une chose est sûre : le fauteuil rouge ne sera plus jamais tout à fait le même.
Et vous, vous pensez que Tayc va rafler tous les meilleurs talents ou les anciens vont lui tenir tête ? Dites-moi tout en commentaire, je suis curieux de savoir ce que vous en pensez avant même la diffusion !
Imaginez la scène : vous êtes dans le public, il est 13 h 30, les lumières s’éteignent doucement et soudain quatre fauteuils rouges pivotent. Trois visages connus, et un nouveau. Et là, le nouveau, il ne fait pas que arriver… il débarque. Tayc, 29 ans, sourire XXL et énergie contagieuse, vient de poser ses valises dans The Voice et, franchement, ça déménage déjà.
Quand Tayc transforme The Voice en ring de punchlines
Je ne sais pas vous, mais moi, j’ai toujours trouvé que les premières auditions à l’aveugle étaient un peu trop policées ces dernières années. Tout le monde est gentil, tout le monde se félicite, on dirait presque une colonie de vacances version chanson française. Eh bien cette saison 15, c’est terminé. Tayc est là pour rappeler que la télé, ça peut aussi être du spectacle pur et dur.
Dès le premier jour (j’étais présent le deuxième), les autres coachs sentaient déjà la différence. Une phrase lancée par une candidate, un peu trop confiante, et paf : « Tu verras ça avec ma daronne ! ». Le plateau explose de rire, le public hurle, les caméras zooment sur un Tayc hilare et fier de sa vanne. C’était parti pour une guerre joyeuse, mais une guerre quand même.
Un casting de coachs explosif
Cette année, on retrouve un quatuor plutôt inattendu :
- Florent Pagny, le sage revenu pour une ultime saison (paraît-il)
- Amel Bent, la grande sœur toujours aussi cash
- Lara Fabian, l’émotion à fleur de peau
- Et Tayc, le petit nouveau qui n’a clairement pas l’intention de faire de la figuration
Quatre générations, quatre styles, quatre façons de vivre la musique. Et croyez-moi, dès que les buzzers commencent à pleuvoir, on sent tout de suite que Tayc ne joue pas dans la même catégorie que les autres.
Pourquoi Tayc était le chaînon manquant
On va être honnête deux secondes. Ces dernières saisons, il manquait un peu de fraîcheur, de spontanéité, de peps comme on dit chez les jeunes. Les coachs étaient excellents, bien sûr, mais parfois un peu trop dans la retenue. Tayc, lui, arrive avec son flow naturel, ses expressions de quartier et son humour qui tape juste.
« Moi je suis venu pour gagner, pas pour participer poliment. »
– Phrase entendue dans les couloirs du tournage
Et ça se voit. Il danse sur son fauteuil, il chambre, il se lève pour aller féliciter les talents sur scène, il parle créole, il fait des blagues que seul le public jeune capte immédiatement. En deux jours, il a déjà sa fanbase dans la salle qui scande son nom entre chaque prestation.
Les moments qui ont marqué les auditions
Je ne vais pas vous spoiler les talents (promis, pas un nom), mais quelques séquences resteront gravées :
- Quand Tayc buzz en premier sur une reprise afrobeats et se met à danser comme à la maison
- Le moment où il bloque Amel Bent sur un talent en lançant « Désolé ma sœur, celui-là il est pour moi ! » avec un clin d’œil assassin
- L’instant où Florent Pagny lui dit, mi-amusé mi-sérieux : « Toi t’es dangereux, tu vas tous nous manger »
- Et surtout, la fois où une candidate lui répond cash et qu’il sort la fameuse punchline sur la daronne… le plateau a mis cinq bonnes minutes à se calmer
Ces moments-là, c’est exactement ce qui manquait à l’émission : de l’authenticité, de l’énergie brute, du rire franc.
Tayc, plus qu’un chanteur : une personnalité télé
On le savait déjà gagnant de Danse avec les stars en 2021, on savait qu’il remplissait les salles avec ses concerts, mais là, on découvre autre chose : l’homme est taillé pour la télé. Charisme naturel, répartie immédiate, il sait parler aux jeunes sans jamais tomber dans le ridicule « daron qui veut faire jeune ».
Ses arguments pour récupérer les talents ? Pas de grandes phrases toutes faites. Il parle de vibe, de famille, de transmission. Il dit souvent : « Viens, on va faire l’histoire ensemble. » Et ça marche. Terriblement bien.
D’ailleurs, petite confidence de tournage : plusieurs talents m’ont glissé après leur passage qu’ils avaient hésité entre deux coachs… mais que l’énergie de Tayc avait fini de les convaincre. C’est dire.
2026 : l’année où The Voice rajeunit vraiment ?
Avec ce nouveau coach, l’émission semble prendre un virage. Moins guindée, plus urbaine, connectée à la nouvelle génération. On sent que la production a compris qu’il fallait injecter du sang neuf pour garder le programme au sommet après quinze ans.
Et ça fonctionne. Le public présent était bien plus jeune que les années précédentes, les réseaux sociaux s’enflamment déjà autour des extraits qui circulent (même si officiellement rien n’est diffusé avant 2026), et les autres coachs, loin d’être effacés, semblent revigorés par cette concurrence amicale mais féroce.
Parce que oui, Amel Bent n’a pas dit son dernier mot, Lara Fabian fait toujours pleurer la France entière, et Florent Pagny reste Florent Pagny. Mais Tayc, lui, apporte la petite étincelle qui peut tout faire basculer.
Verdict personnel après deux jours de tournage
Je suis reparti du studio avec une certitude : cette saison 15 risque d’être l’une des plus mémorables depuis longtemps. Pas seulement pour les talents (qui sont, comme toujours, impressionnants), mais pour l’ambiance générale. On rit, on vibre, on s’engueule gentiment, on se chamaille pour un buzzer… Bref, on vit.
Et si Tayc continue sur cette lancée, il ne sera pas juste « le nouveau coach ». Il pourrait bien devenir le phénomène de l’année télé. Rien que ça.
Alors oui, rendez-vous en 2026 pour découvrir tout ça à l’écran. Mais une chose est sûre : le fauteuil rouge ne sera plus jamais tout à fait le même.
Et vous, vous pensez que Tayc va rafler tous les meilleurs talents ou les anciens vont lui tenir tête ? Dites-moi tout en commentaire, je suis curieux de savoir ce que vous en pensez avant même la diffusion !
