Vigilance Maximale pour Noël et Hanouka : Ce Qui Change Cette Année

Ils restent le point noir. Ces dernières années, on avait déjà des barrières en béton et des vigiles. Cette année, attendez-vous à plus :

• Accès unique avec palpation systématique
• Interdiction des sacs à dos (sauf transparents)
• Chiens renifleurs d’explosifs à l’entrée
• Parfois, fermeture anticipée à 20h au lieu de 22h

Certains maires préfèrent annuler plutôt que de transformer leur marché en camp retranché. Je comprends les deux positions. D’un côté, on ne veut pas céder à la peur. De l’autre, on ne veut pas jouer à la roulette russe avec la vie des gens.

Une menace qui évolue aussi en ligne

Ce qu’on oublie souvent, c’est que la menace n’est plus seulement physique. Sur les réseaux, les appels à la violence contre les juifs ou les chrétiens pendant les fêtes pullulent. Les services de renseignement passent leur temps à traquer ces messages.

Récemment, plusieurs individus ont été interpellés pour avoir posté des projets d’attentat précis visant des offices de Hanouka. L’un d’eux avait même repéré une synagogue et publié le plan d’accès. Glauque.

Ce que ça dit de notre société

Au-delà des mesures techniques, il y a une question qui me taraude : jusqu’où est-on prêt à aller pour préserver notre mode de vie ?

Quand je vois une grand-mère se faire fouiller pour aller à la messe de minuit, ou un enfant de 8 ans expliquer à son petit frère pourquoi il y a des soldats avec des gros fusils devant la synagogue, je me dis qu’on a déjà perdu quelque chose.

Mais en même temps, l’alternative – ne rien faire et attendre le prochain drame – est inacceptable. C’est le dilemme infernal de notre époque.

On ne négocie pas avec ceux qui veulent nous détruire. On les combat. Et pour les combattre efficacement, il faut parfois accepter des contraintes.

Un haut responsable de la sécurité intérieure (anonyme)

Et nous, que faire de notre côté ?

On n’est pas juste des spectateurs. Quelques gestes simples :

• Soyez attentifs aux comportements suspects (sac abandonné, personne qui tourne en rond trop longtemps…)
• N’hésitez pas à signaler via l’application SAIP ou le 17
• Préférez les transports en commun aux voitures près des lieux sensibles (moins de risques de véhicule-bélier)
• Pour les responsables de communautés : maintenez le dialogue avec la préfecture, c’est vital

Je sais, dit comme ça, on a l’impression de vivre dans un film dystopique. Mais la réalité, parfois, dépasse la fiction.

Alors oui, cette année, Noël et Hanouka seront sous haute protection. Ce ne sera pas l’idéal. Ce ne sera pas comme avant. Mais on sera là, ensemble, à allumer nos bougies et nos sapins.

Et ça, personne ne pourra nous l’enlever.

Prenez soin de vous. Et joyeuses fêtes, malgré tout.

Les préfets ont reçu des instructions précises. Voici ce qui va changer pour nous, citoyens lambda :

• Présence renforcée de forces de l’ordre (police nationale, gendarmerie, police municipale) autour des lieux de culte pendant les offices
• Dispositifs statiques (barrages filtrants, véhicules bloquant l’accès) devant les synagogues et certaines églises sensibles
• Patrouilles dynamiques Sentinelle renforcées dans les zones touristiques et commerciales
• Contrôles d’identité et fouilles de sacs systématiques à l’entrée de certains marchés de Noël
• Coordination accrue avec les responsables religieux pour identifier les horaires à risque

Dans certaines grandes villes, on parle même de drones de surveillance et de caméras à reconnaissance faciale en test. Ça peut sembler excessif, mais quand on voit ce qui s’est passé ailleurs…

Et les marchés de Noël dans tout ça ?

Ils restent le point noir. Ces dernières années, on avait déjà des barrières en béton et des vigiles. Cette année, attendez-vous à plus :

• Accès unique avec palpation systématique
• Interdiction des sacs à dos (sauf transparents)
• Chiens renifleurs d’explosifs à l’entrée
• Parfois, fermeture anticipée à 20h au lieu de 22h

Certains maires préfèrent annuler plutôt que de transformer leur marché en camp retranché. Je comprends les deux positions. D’un côté, on ne veut pas céder à la peur. De l’autre, on ne veut pas jouer à la roulette russe avec la vie des gens.

Une menace qui évolue aussi en ligne

Ce qu’on oublie souvent, c’est que la menace n’est plus seulement physique. Sur les réseaux, les appels à la violence contre les juifs ou les chrétiens pendant les fêtes pullulent. Les services de renseignement passent leur temps à traquer ces messages.

Récemment, plusieurs individus ont été interpellés pour avoir posté des projets d’attentat précis visant des offices de Hanouka. L’un d’eux avait même repéré une synagogue et publié le plan d’accès. Glauque.

Ce que ça dit de notre société

Au-delà des mesures techniques, il y a une question qui me taraude : jusqu’où est-on prêt à aller pour préserver notre mode de vie ?

Quand je vois une grand-mère se faire fouiller pour aller à la messe de minuit, ou un enfant de 8 ans expliquer à son petit frère pourquoi il y a des soldats avec des gros fusils devant la synagogue, je me dis qu’on a déjà perdu quelque chose.

Mais en même temps, l’alternative – ne rien faire et attendre le prochain drame – est inacceptable. C’est le dilemme infernal de notre époque.

On ne négocie pas avec ceux qui veulent nous détruire. On les combat. Et pour les combattre efficacement, il faut parfois accepter des contraintes.

Un haut responsable de la sécurité intérieure (anonyme)

Et nous, que faire de notre côté ?

On n’est pas juste des spectateurs. Quelques gestes simples :

• Soyez attentifs aux comportements suspects (sac abandonné, personne qui tourne en rond trop longtemps…)
• N’hésitez pas à signaler via l’application SAIP ou le 17
• Préférez les transports en commun aux voitures près des lieux sensibles (moins de risques de véhicule-bélier)
• Pour les responsables de communautés : maintenez le dialogue avec la préfecture, c’est vital

Je sais, dit comme ça, on a l’impression de vivre dans un film dystopique. Mais la réalité, parfois, dépasse la fiction.

Alors oui, cette année, Noël et Hanouka seront sous haute protection. Ce ne sera pas l’idéal. Ce ne sera pas comme avant. Mais on sera là, ensemble, à allumer nos bougies et nos sapins.

Et ça, personne ne pourra nous l’enlever.

Prenez soin de vous. Et joyeuses fêtes, malgré tout.

Je ne vais pas vous refaire l’historique complet, mais rappelons juste quelques dates qui marquent encore les esprits :

• 11 décembre 2018 → attentat du marché de Noël de Strasbourg (5 morts)
• 19 décembre 2016 → camion-bélier sur le marché de Noël de Berlin (12 morts)
• Et plus récemment, l’attaque au camion-bélier de Magdebourg en décembre 2024

Ces dates ne sont pas là pour faire peur gratuitement. Elles sont là parce qu’elles ont créé un précédent. Les terroristes (islamistes ou d’extrême droite, peu importe l’étiquette) savent que frapper pendant les fêtes a un impact psychologique énorme.

Ajoutez à cela la montée des actes antisémites et anti-chrétiens en Europe, et vous avez un cocktail explosif. D’ailleurs, j’ai remarqué que même dans des petites villes de province, les maires commencent à annuler purement et simplement certains événements « par précaution ». C’est révélateur.

Concrètement, ça veut dire quoi sur le terrain ?

Les préfets ont reçu des instructions précises. Voici ce qui va changer pour nous, citoyens lambda :

• Présence renforcée de forces de l’ordre (police nationale, gendarmerie, police municipale) autour des lieux de culte pendant les offices
• Dispositifs statiques (barrages filtrants, véhicules bloquant l’accès) devant les synagogues et certaines églises sensibles
• Patrouilles dynamiques Sentinelle renforcées dans les zones touristiques et commerciales
• Contrôles d’identité et fouilles de sacs systématiques à l’entrée de certains marchés de Noël
• Coordination accrue avec les responsables religieux pour identifier les horaires à risque

Dans certaines grandes villes, on parle même de drones de surveillance et de caméras à reconnaissance faciale en test. Ça peut sembler excessif, mais quand on voit ce qui s’est passé ailleurs…

Et les marchés de Noël dans tout ça ?

Ils restent le point noir. Ces dernières années, on avait déjà des barrières en béton et des vigiles. Cette année, attendez-vous à plus :

• Accès unique avec palpation systématique
• Interdiction des sacs à dos (sauf transparents)
• Chiens renifleurs d’explosifs à l’entrée
• Parfois, fermeture anticipée à 20h au lieu de 22h

Certains maires préfèrent annuler plutôt que de transformer leur marché en camp retranché. Je comprends les deux positions. D’un côté, on ne veut pas céder à la peur. De l’autre, on ne veut pas jouer à la roulette russe avec la vie des gens.

Une menace qui évolue aussi en ligne

Ce qu’on oublie souvent, c’est que la menace n’est plus seulement physique. Sur les réseaux, les appels à la violence contre les juifs ou les chrétiens pendant les fêtes pullulent. Les services de renseignement passent leur temps à traquer ces messages.

Récemment, plusieurs individus ont été interpellés pour avoir posté des projets d’attentat précis visant des offices de Hanouka. L’un d’eux avait même repéré une synagogue et publié le plan d’accès. Glauque.

Ce que ça dit de notre société

Au-delà des mesures techniques, il y a une question qui me taraude : jusqu’où est-on prêt à aller pour préserver notre mode de vie ?

Quand je vois une grand-mère se faire fouiller pour aller à la messe de minuit, ou un enfant de 8 ans expliquer à son petit frère pourquoi il y a des soldats avec des gros fusils devant la synagogue, je me dis qu’on a déjà perdu quelque chose.

Mais en même temps, l’alternative – ne rien faire et attendre le prochain drame – est inacceptable. C’est le dilemme infernal de notre époque.

On ne négocie pas avec ceux qui veulent nous détruire. On les combat. Et pour les combattre efficacement, il faut parfois accepter des contraintes.

Un haut responsable de la sécurité intérieure (anonyme)

Et nous, que faire de notre côté ?

On n’est pas juste des spectateurs. Quelques gestes simples :

• Soyez attentifs aux comportements suspects (sac abandonné, personne qui tourne en rond trop longtemps…)
• N’hésitez pas à signaler via l’application SAIP ou le 17
• Préférez les transports en commun aux voitures près des lieux sensibles (moins de risques de véhicule-bélier)
• Pour les responsables de communautés : maintenez le dialogue avec la préfecture, c’est vital

Je sais, dit comme ça, on a l’impression de vivre dans un film dystopique. Mais la réalité, parfois, dépasse la fiction.

Alors oui, cette année, Noël et Hanouka seront sous haute protection. Ce ne sera pas l’idéal. Ce ne sera pas comme avant. Mais on sera là, ensemble, à allumer nos bougies et nos sapins.

Et ça, personne ne pourra nous l’enlever.

Prenez soin de vous. Et joyeuses fêtes, malgré tout.

Vous souvenez-vous de ce sentiment étrange, il y a quelques années, quand on traversait un marché de Noël et qu’on croisait soudain des militaires en treillis avec leur Famas en bandoulière ? On se disait « quand même, c’est devenu normal… ». Eh bien en cette fin 2025, ce sentiment revient, mais en version amplifiée.

Le ministre de l’Intérieur vient de taper du poing sur la table. Pas publiquement, non, mais dans un télégramme envoyé à tous les préfets : vigilance maximale exigée pour les fêtes de fin d’année, qu’elles soient chrétiennes ou juives. Et quand on lit entre les lignes, on comprend vite que la situation est tendue. Très tendue.

Une période sous haute tension

Hanouka commence le 14 décembre cette année et dure huit jours. Noël, on le sait, tombe le 25. Deux moments de joie, de lumières, de rassemblements familiaux… et malheureusement deux c’est exactement ce genre d’événements qui fait saliver les esprits mal intentionnés.

Le télégramme est clair : il faut renforcer les dispositifs de sécurisation des offices religieux et de tous les rassemblements liés à ces fêtes. Synagogues, églises, mais aussi les traditionnels marchés de Noël qui fleurissent dans chaque ville.

« Le niveau très élevé de la menace terroriste » et « les récents événements intervenus dans plusieurs lieux de culte (incendies, dégradations, vandalisme) » imposent le maintien d’une extrême attention.

Quand on voit la liste des incidents ces derniers mois – portes d’églises taguées, tentatives d’incendie de synagogues, profanations de cimetières juifs – on se dit que ce n’est pas juste de la prudence de routine. C’est une réponse à une réalité brûlante.

Pourquoi maintenant ? Le contexte qu’on ne peut plus ignorer

Je ne vais pas vous refaire l’historique complet, mais rappelons juste quelques dates qui marquent encore les esprits :

• 11 décembre 2018 → attentat du marché de Noël de Strasbourg (5 morts)
• 19 décembre 2016 → camion-bélier sur le marché de Noël de Berlin (12 morts)
• Et plus récemment, l’attaque au camion-bélier de Magdebourg en décembre 2024

Ces dates ne sont pas là pour faire peur gratuitement. Elles sont là parce qu’elles ont créé un précédent. Les terroristes (islamistes ou d’extrême droite, peu importe l’étiquette) savent que frapper pendant les fêtes a un impact psychologique énorme.

Ajoutez à cela la montée des actes antisémites et anti-chrétiens en Europe, et vous avez un cocktail explosif. D’ailleurs, j’ai remarqué que même dans des petites villes de province, les maires commencent à annuler purement et simplement certains événements « par précaution ». C’est révélateur.

Concrètement, ça veut dire quoi sur le terrain ?

Les préfets ont reçu des instructions précises. Voici ce qui va changer pour nous, citoyens lambda :

• Présence renforcée de forces de l’ordre (police nationale, gendarmerie, police municipale) autour des lieux de culte pendant les offices
• Dispositifs statiques (barrages filtrants, véhicules bloquant l’accès) devant les synagogues et certaines églises sensibles
• Patrouilles dynamiques Sentinelle renforcées dans les zones touristiques et commerciales
• Contrôles d’identité et fouilles de sacs systématiques à l’entrée de certains marchés de Noël
• Coordination accrue avec les responsables religieux pour identifier les horaires à risque

Dans certaines grandes villes, on parle même de drones de surveillance et de caméras à reconnaissance faciale en test. Ça peut sembler excessif, mais quand on voit ce qui s’est passé ailleurs…

Et les marchés de Noël dans tout ça ?

Ils restent le point noir. Ces dernières années, on avait déjà des barrières en béton et des vigiles. Cette année, attendez-vous à plus :

• Accès unique avec palpation systématique
• Interdiction des sacs à dos (sauf transparents)
• Chiens renifleurs d’explosifs à l’entrée
• Parfois, fermeture anticipée à 20h au lieu de 22h

Certains maires préfèrent annuler plutôt que de transformer leur marché en camp retranché. Je comprends les deux positions. D’un côté, on ne veut pas céder à la peur. De l’autre, on ne veut pas jouer à la roulette russe avec la vie des gens.

Une menace qui évolue aussi en ligne

Ce qu’on oublie souvent, c’est que la menace n’est plus seulement physique. Sur les réseaux, les appels à la violence contre les juifs ou les chrétiens pendant les fêtes pullulent. Les services de renseignement passent leur temps à traquer ces messages.

Récemment, plusieurs individus ont été interpellés pour avoir posté des projets d’attentat précis visant des offices de Hanouka. L’un d’eux avait même repéré une synagogue et publié le plan d’accès. Glauque.

Ce que ça dit de notre société

Au-delà des mesures techniques, il y a une question qui me taraude : jusqu’où est-on prêt à aller pour préserver notre mode de vie ?

Quand je vois une grand-mère se faire fouiller pour aller à la messe de minuit, ou un enfant de 8 ans expliquer à son petit frère pourquoi il y a des soldats avec des gros fusils devant la synagogue, je me dis qu’on a déjà perdu quelque chose.

Mais en même temps, l’alternative – ne rien faire et attendre le prochain drame – est inacceptable. C’est le dilemme infernal de notre époque.

On ne négocie pas avec ceux qui veulent nous détruire. On les combat. Et pour les combattre efficacement, il faut parfois accepter des contraintes.

Un haut responsable de la sécurité intérieure (anonyme)

Et nous, que faire de notre côté ?

On n’est pas juste des spectateurs. Quelques gestes simples :

• Soyez attentifs aux comportements suspects (sac abandonné, personne qui tourne en rond trop longtemps…)
• N’hésitez pas à signaler via l’application SAIP ou le 17
• Préférez les transports en commun aux voitures près des lieux sensibles (moins de risques de véhicule-bélier)
• Pour les responsables de communautés : maintenez le dialogue avec la préfecture, c’est vital

Je sais, dit comme ça, on a l’impression de vivre dans un film dystopique. Mais la réalité, parfois, dépasse la fiction.

Alors oui, cette année, Noël et Hanouka seront sous haute protection. Ce ne sera pas l’idéal. Ce ne sera pas comme avant. Mais on sera là, ensemble, à allumer nos bougies et nos sapins.

Et ça, personne ne pourra nous l’enlever.

Prenez soin de vous. Et joyeuses fêtes, malgré tout.